H2014 – Relations publiques

Cette page a été créé à l’intention des étudiantes et des étudiants inscrits à l’hiver 2014 au cours Relations publiques au département de Techniques de tourisme du Cégep de Matane.

Dans le cadre d’un laboratoire en continu, ils devront à tour de rôle choisir un sujet d’actualité et écrire un résumé de 150 à 400 mots sur cette page puis, en faire une présentation devant leurs collègues.

Bon partage!

27 commentaires Add your own

  • 1. Thomas Blant  |  0-04:00 jeudi 23 janvier 2014 à 15:57

    Encore un cours plate ^-^

    Réponse
    • 2. michelhebert  |  0-04:00 vendredi 24 janvier 2014 à 10:20

      Aussi plate qu’une crêpe alsacienne, euh, bretonne.

      Réponse
  • 3. Élodie  |  0-04:00 jeudi 23 janvier 2014 à 15:57

    Bonjour Michel =)

    Réponse
    • 4. michelhebert  |  0-04:00 vendredi 24 janvier 2014 à 10:21

      Et bonjour à toi aussi Élodie (au moins, y en a une qui est polie…).

      Réponse
  • 5. Meggie Torresan  |  0-04:00 jeudi 23 janvier 2014 à 15:58

    Je travaille à 16h30 !

    Réponse
  • 7. meggie2588  |  0-04:00 dimanche 26 janvier 2014 à 10:50

    Pendant que le Québec débat encore sur la Charte des valeurs, on peut observer quelques institutions laïque qui fonctionnent très bien, et ce depuis des années. Au Collège international Marie de France, ce sont les étudiants tout comme le personnel qui ne peuvent pas afficher de symboles religieux ostentatoires, les règles de cette institution sont encore plus stricte que celles de la Charte, et tout va pour le mieux. On dénombre plus de soixante-dix nationalités différentes inscrites et il n’y a aucun problème avec les règles, les parents sont au courant au moment de l’inscription des enfants. Même que les parents viennent chercher leurs enfants après la journée terminée avec leurs signes ostentatoires et ceci ne cause aucun problème, tout le monde se parle et se côtoie dans le respect. Malgré cet exemple plusieurs autres institutions craignent le manque d’employés, de conflits de travail, d’un manque d’inscription ou d’une privatisation obligatoire. Donc, la Charte est moins sévère que la loi française, ce qui amène le Québec en entier à se questionner encore un fois.

    Réponse
    • 8. michelhebert  |  0-04:00 dimanche 26 janvier 2014 à 10:54

      Bon début! Hâte d’entendre ta présentation demain matin.

      Réponse
  • 9. Élodie  |  0-04:00 dimanche 26 janvier 2014 à 16:09

    L’Ukraine est séparée en deux groupes distinct, sois l’Ukraine de l’Est et de l’Ouest. L’Ukraine de l’Est pour sa part, est pro-russe, ce qui signifie qu’ils ont une manière de penser plus socialisme. Alors que l’Ukraine de l’Ouest est pro-européen, leurs façons de penser est plus démocrate. Avec c’est deux façons de penser différentes le pays est déjà séparer en deux. Le conflit surgit lorsque l’Ukraine de l’Ouest à désirer faire partie de l’Union Européenne, le président de ce pays, Viktor Lanoukovytch, étant plus pro-russe, n’a pas accepté de faire partie de l’Union Européenne, alors l’Ouest c’est rebeller et à déclencher une émeute à Kiev. Ça fait déjà plusieurs semaine que ce conflit dure, il n’y avait eu que quelques cas de violence qui était arrivé entre la police et les militants, mais c’est mercredi le 22 janvier 2014 qu’a surgit une tragédie, qui à causer la mort de cinq militants et plus de 300 blesser. Le président a même déclaré : «Si les provocateurs ne s’arrêtent pas, les autorités n’auront pas d’autre choix que d’utiliser la force dans le cadre de la loi pour assurer la sécurité des gens». Le président essaie de trouver un terrain d’entente, mais cela n’a satisfait point les militants.

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    • 10. michelhebert  |  0-04:00 dimanche 26 janvier 2014 à 17:49

      Il n’y a jamais rien d’évident lorsque la population d’un pays et ses dirigeants ne rament pas dans le même sens. Au plaisir de t’écouter demain.

      Réponse
  • 11. Thomas  |  0-04:00 dimanche 26 janvier 2014 à 19:15

    Airbnb est une plate-forme communautaire fondée en 2008, et se définie comme le successeur du « couchsurfing ». Cette entreprise californienne, présente dans 192 pays et plus de 34 000 villes, propose aux voyageurs un panel d’hébergement abordable, du condo aux châteaux, du plus « cheap » au plus « chic ».

    Le principal but de cette plate-forme est de permettre aux utilisateurs de rentabiliser leur(s) logement(s) inoccupé(s). Ainsi, l’absence de réglementations et de taxes permettent au touriste d’accéder à un nouveau type d’hébergement, et cela à des tarifs défiant toute concurrence.

    Les hôteliers quant à eux ne voient pas cette concurrence d’un très bonne œil, et c’est d’ailleurs pour cette raison qu’ils sont nombreux à tenter de dénoncer cette nouvelle forme d’hébergement illégale. Une étude récente de l’université de Boston estime que pour 1% de croissance du site internet, un hôtel moyen américain perd environ 120 000$US par année.

    A contrario, il ne faut pas négliger l’apport économique que représente Airbnb pour les villes. En effet, rien qu’en 2013, la ville de New York aurait perçu 31 millions de dollars d’impôt supplémentaire grâce à la plate-forme. De plus, les dernières données indiquent que les touristes dépensent plus, et reste plus longtemps lorsqu’ils utilisent Airbnb.

    Réponse
    • 12. michelhebert  |  0-04:00 dimanche 26 janvier 2014 à 19:54

      Peut-être que les étudiants pourraient offrir leurs chambres en résidences sur Airbnb… À demain

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  • 13. Thomas Blant  |  0-04:00 vendredi 7 février 2014 à 23:20

    La manifestation du 6 février dernier par les premières nations américaines, dans la ville de Détroit, relance encore une fois le débat du désormais célèbre « Keystone Pipeline Project ».

    En effet, voila maintenant presque 6 ans que le débat autour de ce projet est lancé, et il semblerait que la décision finale ne saurait tarder. Rappelons que cette entreprise de plus de 5 milliards de dollar, à pour but la construction d’un pipeline géant, reliant l’Alberta au Nebraska (1900 km.), finalisé il permettrait l’acheminement de 830000 barils/jours. TransCanada qui est en charge du projet, affirme que l’utilisation des pipelines pour transporter les énergies fossiles, est non seulement la méthode la plus sur, mais elle serait bénéfique autant pour l’économie, que l’environnement. La création de 9000 emplois prévus durant la construction, en plus des répercussions sur les économies locales, ne représentent que quelques uns des avantages à ce projet.

    Cependant, il est bon de rappeler que durant la construction du tronçon initial, une douzaine de fuite ont été dénombrées, déversant ainsi quelques 80000 litres de pétrole brut dans la nature. De plus, certains économistes prévoient qu’avec les pertes que subirait l’industrie du transport, la plus value pour l’économie Américaine, sera loin de celle avancée par TransCanada. Ajoutons à tout cela, que ce pipeline ne serait qu’un encouragement supplémentaire à l’extraction des sables bitumeux albertains, méthode reconnue comme la plus polluante de toute.

    Enfin, une étude récente du gouvernement américain, prouve que l’utilisation de l’alternative la moins polluante, c’est-à-dire le train, rejetterait toujours 40% de CO² de plus que le pipeline. Que faire ?

    Réponse
    • 14. michelhebert  |  0-04:00 samedi 8 février 2014 à 05:51

      Ça gaze comme sujet! 🙂 Bonne finale qui peut faire l’objet d’une bonne discussion. À lundi.

      Réponse
  • 15. meggie2588  |  0-04:00 samedi 8 février 2014 à 22:19

    À une certaine époque ont voyaient les hommes de foi comme étant des références, des gens de confiance et des mentors, la population se tournaient vers l’église pour avoir une protection et une absolution suprême. Suite à certaines déclarations faites par une partie de la société, le catholicisme a perdu de la crédibilité au sein de ce monde en évolution constante. L’église catholique a toujours caché et nié les fautes de certains représentants dans le but d’éviter un scandale. Les prêtres qui représentaient autrefois l’autorité et qui prêchaient l’honnêteté, la droiture et la charité, se sont vus dévoiler des secrets révélateurs sur l’institution en question. Certains de ses hommes que la population a soutenus comme étant des représentants de Dieu, ont abusé de la confiance de leurs adeptes en profitant de la naïveté des gens en abusant de leur pouvoir d’autorité. Les gens sont devenus plus ouvert sur le monde et les différentes cultures, ayant de moins en moins peur face à ce qu’ils devaient déclarer, ont pris la décision de dévoiler des secrets et des tourments cachés au plus profond d’eux depuis l’enfance. Le problème est que les dirigeants de ladite institution, sont très rigides et qu’ils n’assument pas que leurs représentants vivent et ressentent des émotions, ils ne sont que des hommes après tout. En niant ces faits, ils rendent tout un monde de croyances, incrédible. Ils prennent leur pouvoir là où les gens ont des peurs, des questions sur le monde qui les entourent et ils ont perdu ce pouvoir sur les populations occidentales en prenant pour acquis que seul ces représentants ont la vérité absolu.

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    • 16. michelhebert  |  0-04:00 dimanche 9 février 2014 à 07:14

      De belles conversation devant le feu de foyer en perspective 🙂 Hâte de t’entendre demain.

      Réponse
  • 17. Élodie  |  0-04:00 dimanche 9 février 2014 à 17:46

    En 2008 le gouvernement Canadien à décider de construire et de réparer plusieurs école en Afghanistan, on parle d’à peu près 50 écoles dans la province de Kandahar. De plus, c’étais une initiative pour ramener les femmes à l’école. Malgré cette bonne initiative du Canada, les écoles sont loin d’être au point. Aléas, c’est école ont chacun des problèmes. Ils y en a qui ont un escalier pour se rendre au deuxième étage, mais il n’y a pas de deuxièmes étage, il y a des toits qui coule (d’ailleurs quand il pleut il faut fermer l’école) certaines salles de classe sentent l’humidité, il manque des toilettes pour le nombre d’élèves, bref un environnent très peu adéquat pour l’éducation. Le directeur de l’école Shaheed Sardor Mohammed Dawood, Mansour Ahmad, est très fâché. «Le Canada devrait avoir honte, dit-il. Les Japonais, eux, ont très bien travaillé. L’UNICEF aussi. Les Canadiens ne sont jamais venus nous voir et on ne sait pas comment les contacter.» Cela est comme ça depuis 2008 et rien n’à changer depuis 2014. Pour les Afghanistan les Canadien sont bon à rien qui on bâcler leur travail, ils ont tous unanime là-dessus. Notre réputation en a pris un coup aux yeux de ceux-ci. De plus, en 2011 le Canada ces retirer du projet en laissant ses écoles en piètre état. Pas la peine de vous dire que le pays n’était pas très content. Plusieurs disent même que le Canada a donné un cadeau empoisonné aux Afghanistan.

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    • 18. michelhebert  |  0-04:00 dimanche 9 février 2014 à 21:28

      Je n’avais pas entendu parler de cette histoire-là. Ce sera intéressant d’en savoir plus demain 🙂

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  • 19. Élodie  |  0-04:00 dimanche 23 février 2014 à 18:31

    Les Pussy Riot

    Les Pussy Riot est un groupe féministe Russe qui prône le droit des femmes et qui conteste le pouvoir du Président Russe, Vladimir Poutine, qu’elles considèrent trop autoritaire. Ce groupe de femmes a été créé en 2011, pour ce faire entendre elles font de la musique punk dans des lieux publique, elles s’habillent avec une cagoule et de vêtements de couleurs vives.
    En 2012, trois filles de se groupe a été arrêté pour deux ans d’emprisonnement. La cause, elles ont chanté dans une cathédrale russe contre le président. Le titre de la chanson : «prière anti-poutine». Elles ont été condamnées pour «hooliganisme et appel à la haine religieuse.» Pour tout les pays qui prônent le droit de l’homme et la liberté d’expression, cette arrestation est impensable. D’ailleurs il y a eu des manifestations contre ce jugement dans plusieurs pays d’Europe. À la suite de cet événement les Pussy Rio sont devenue un des symboles de la liberté d’expression. (158)
    En décembre 2013, les trois membres arrêté ont été libérer. Loin l’idée d’arrêter leurs causes, elles ont profité du gros boom médiatique pour chanter tout près de la place des jeux olympique de Sotchi pour chanter «Poutine va vous apprendre à aimer». Cela n’a pas été long, qu’elles se sont faites arrêté sur la place publique, à coup de fouets et de poivre de Cayenne. L’opposant à monsieur Poutine, Alexeï Navalny, à déclaré : «Il faut vraiment être idiot pour arrêter les Pussy Riot à Sotchi pendant les jeux Olympiques». D’autre personne disent que ce n’est pas la place pour faire se genre de manifestations, que les jeux olympique ne démontre pas la haine. Cette manifestions provoque, encore une fois, beaucoup d’enjeux et ce fait parler partout au travers de la planète.

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    • 20. michelhebert  |  0-04:00 dimanche 23 février 2014 à 20:36

      Une belle entrée en matière, Élodie.

      À demain

      Réponse
  • 21. Meggie  |  0-04:00 dimanche 23 février 2014 à 22:16

    La neknomination est un nouveau phénomène social dans le monde, né en Australie. C’est un phénomène web qui consiste à mettre en ligne une vidéo dans laquelle le participant boit une grande quantité d’alcool, avant de lancer le défi à d’autres personnes. Ce phénomène à rassembler plusieurs adeptes sur les média sociaux, partout dans le monde.

    Le processus est vraiment simple : une personne met en ligne la vidéo qu’elle a filmée d’elle-même dans laquelle elle boit une énorme quantité d’alcool et ce le plus rapidement possible, le tout dans une situation la plus inusité imaginée, pour identifier trois autres personnes qui doivent eux aussi réaliser le défi et ce dans la journée qui suit.

    Il y a déjà eu quelques morts dans les dernières semaines, malgré cette menace réelle, dénoncée par les dirigeants de la France et de l’Irlande, le maitre des réseaux sociaux Facebook refuse toujours d’interdire la diffusion de vidéos. Un des jeunes a bu deux pintes de gin avant de mourir, un autre a perdu la vie en buvant une pinte de bière tout en sautant dans un fleuve, un retrouvé inconscient chez lui, sans compté tous les autres jeunes qui font des trucs trop dangereux pour un jeu qui ne dure que quelques minutes, voyons donc!

    Heureusement, il y a une bonne réaction dans cette histoire, un jeune français, Vincent Voinson qui avait été mis au défi par quelqu’un, à réagit en se filmant ainsi : en achetant à manger pour les sans-abri, et en distribuant cette nourriture. En publiant sa vidéo il met trois de ses amis au défi de faire le bien dans leur communauté, et ainsi il crée la smartnomination. Ceci est une belle leçon, un jeune a réagit lui-même à une problématique importante, qui fait du tort à la population mondiale!

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    • 22. michelhebert  |  0-04:00 lundi 24 février 2014 à 06:02

      Nous boirons tes paroles durant ta présentation! À tout à l’heure.

      Réponse
  • 23. Thomas Blant  |  0-04:00 dimanche 23 février 2014 à 23:43

    ujourd’hui, 23 février 2014, c’est le coup d’envoi de la 12e édition de La Traversé de la Gaspésie à ski de fond. Cet événement est géré par l’organisme T.D.L. inc., qui fût fondé en 2003 par plusieurs passionnées de grande randonnée et de ski de fond. Depuis sa création, La Traversé de la Gaspésie (TDLG) a déjà attirée plus de 3000 fondeurs, provenant des 4 coins du monde, mais plus particulièrement du Québec, du Canada, des États-Unis, et de l’Europe. Cette année, c’est quelques 275 participants qui tenteront de rallier les quelques deux cents kilomètres du parcours proposé. Outre les Chics-Chocs avec le Mont Albert et le Mont Jacques-Cartier, les participants auront aussi le plaisir de découvrir le Parc Forillon, ainsi que les paysages vierges de Murdochville, pour finir leurs courses à Gaspé.

    La compagnie T.D.L. inc. propose aux fondeurs l’organisation complète de leurs séjours, c’est-à-dire les services d’hébergements avec différentes formules, de restaurations adaptées à leurs activités, de transport, et de relaxation. De plus, il propose également des tours guidés en raquettes pour les conjoints qui ne pratiquent pas le ski de fond, ainsi que d’autres activités pour eux.

    Cette expérience se veut culturelle avant d’être sportive. En effet, ses créateurs ont également misés sur tout un panel d’activités proposées après l’effort. De plus, les acteurs des villes traversées sont mis en avant au travers de leurs gastronomies, des éléments culturels, des faits historiques, le tout réalisé par eux-mêmes lors d’un accueil personnalisé des participants.

    Pour conclure sur cet événement, il est important de souligner le côté humain de celui-ci. En effet, sans la passion de quelques personnes, cette expérience unique n’aurait jamais vue le jour. De plus, le rapprochement possible entre les participants et les habitants rend cette épreuve encore plus humaine et authentique.

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    • 24. michelhebert  |  0-04:00 lundi 24 février 2014 à 06:01

      Ça résume bien le TDLG Ski. À tout à l’heure.

      Réponse
  • 25. Élodie  |  0-04:00 dimanche 11 Mai 2014 à 17:22

    Les hommes et les femmes différents jusque dans les rêves
    L’univers des rêves fascinent l’être humain depuis toujours. Au tout début, les gens croyaient que les rêves étaient des messages divins. Le concept a été changé avec Freud (au début du 20e siècle), on parle alors plus de message conçut par notre inconscient. Par contre, le mystère reste encore à résoudre, car aucune preuve fiable a été trouver à propos des rêves.
    Une étude récente a démontrée que les cauchemars des femmes et des hommes sont relativement différents. Les hommes, eux, aurait plus tendance à rêver de catastrophes naturels (inondation, tremblement de terre), de violence physique et les guerres. Les femmes, eux, font plus des cauchemars axés sur les conflits interpersonnelles. Les femmes se sentent souvent diminuées et incomprises dans leur cauchemars. Les hommes, eux, sont dans l’action, sur la défensive.
    On retrouve une certaine constance au niveau des films, les deux termes évoqués dans les rêves, sont aussi les sujets qui attirent soit le publique féminin ou masculin.
    Les recherches ont mentionnées que les femmes font plus de cauchemars que les hommes. De plus, les femmes se souviennent généralement plus de leurs rêves. Par contre, pour les tests, il est plus difficile de trouver des hommes, alors cela rend la chose un peu plus difficile. On croit que les fait que les femmes font plus de cauchemars, serait du aux fait quel soient plus anxieuses. «Il y a des gens qui, de façon naturelle, répondent à des stress dans leur vie avec une charge émotive beaucoup plus forte, explique M. Zadra. Ça a un plus grand impact sur le plan psychologique. Ce sont ces gens-là qui sont susceptibles de faire des cauchemars.» On souhaite un jour savoir quel facteur de stress provoquerait les cauchemars. Et qui sait, peut-être seront nous en mesure de les faire disparaitre pour de bon.
    On remarque aussi que les dames portent plus attention à leurs rêves, alors que les messieurs s’en préoccupent plus ou moins.
    Les rêves sont un grand mystère. On peut les qualifier de façon philosophique si on regroupe deux des trois grandes questions de la philosophie soit, « qui suis-je » ou « d’où venons-nous ». Certain pensent que les rêves nous aident à mieux réagir a certaine situation de la vie.
    Un professeur de l’Université de Montréal déclare : «Je crois qu’il y a quelque chose, mais je ne sais pas quoi, concède M. Zadra. Si on se demande quelle est la fonction de rêver, on peut aussi se demander quelle est la fonction d’être réveillé ! Je pense que le fait de rêver a une importance, une fonction, mais je pense que cette fonction est indépendante du fait que l’on se souvienne de nos rêves, ou pas. S’il faut se souvenir de nos rêves pour qu’un processus fonctionne, c’est un phénomène d’une inefficacité colossale!»
    Peu importe, les rêves fascines notre monde et continuera de la fasciner.

    Réponse
  • 26. michelhebert  |  0-04:00 dimanche 11 Mai 2014 à 19:06

    Texte de Meggie

    Plusieurs espèces se voient attribuer le statut d’espèces en péril depuis des années. Ce registre comprend une loi primordiale, la voici : «La Loi constitue un engagement clé du gouvernement fédéral en vue de prévenir la disparition d’espèces sauvages et de prendre les mesures nécessaires pour les rétablir. Elle prévoit la protection légale des espèces sauvages et la conservation de leur diversité biologique.»
    Depuis quelque temps, on entend beaucoup parler du caribou forestier et la morue franche, ce qui inquiète la population du Bas-Saint-Laurent ces temps-ci est la population de bélugas de Cacouna.
    Le secteur de Cacouna est reconnu pour être l’endroit de prédilection pour les femelles bélugas en gestation, ce qui fait de ce secteur l’habitat essentiel de l’espèce. Celui-ci est considéré comme le secteur minimum pour assurer la survie d’une espèce en péril.
    C’est au large de Cacouna que Pêches et Océans Canada, donne l’autorisation à TransCanada pour son projet d’oléoduc, afin procéder à des activités de forage. Pêches et Océans Canada à juger très rapidement ces actes de dangereux pour la population de béluga et a imposés des limites, dont celle d’arrêter le forage en date du 30 avril 2014.
    Cette même entité qui a besoin de différentes études sur les fonds marins, qui nécessiteront du forage au milieu de l’habitat du béluga a délivré une autorisation sans soumettre l’étude a ses propres scientifiques. Ces scientifiques qui auraient tout de suite interdit ces activités.
    D’après la loi sur les espèces en péril et la corrélation entre Pêche Océans Canada et le gouvernement fédéral, plusieurs y voient des manquements jugés impardonnables.
    Quelques résultats d’études démontrent clairement que ces projets nuiront à la population de ces cétacés représentatifs de la province. D’une part, le bruit produit par les activités de forage fera certainement fuir les poissons qui servent de nourriture aux cétacés en question. Ensuite, les bélugas eux-mêmes ne seront plus attirés vers leur lieu de gestation et de mise bas. D’autre part, l’espèce démontre déjà des difficultés à mettre des petits au monde. Si les femelles réussissent à mettre bas après une gestation de quinze mois, les veaux meurent quelque temps après.
    C’est en 2012 que le nombre de veaux mort-nés commence à alerter les scientifiques et écologistes québécois. L’espèce étant déjà en déclin depuis le début du 21e siècle, cette fatalité commence à se ressentir de plus en plus sur ce qui reste de la population des bélugas du Saint-Laurent.

    Que ce soit vétérinaire, écologiste, chercheur ou mêmes seulement plaisancier tout citoyen comprend l’impact de ces activités humaines sur une population fragile. Par contre, l’économie du pays est aussi très importante. Chaque citoyen a besoin de sa voiture, chaque jour, vu les distances entre les villes canadiennes. Les retombées économiques de cette industrie sont très favorables au développement canadien.
    La question qui vient immédiatement à l’esprit : comment choisir entre la population de bélugas du Saint-Laurent et l’économie canadienne? Le citoyen canadien ne devrait-il pas faire un compromis pour épargner ces enjeux primordiaux en utilisant l’énergie électrique ?

    Réponse
  • 27. Thomas  |  0-04:00 dimanche 11 Mai 2014 à 19:07

    Fondée en 2006 par un couple originaire de l’Idaho aux États-Unis, la société Solar Roadways a pour but le remplacement de l’asphalte habituel par une série de panneaux solaires interchangeable. Primée à plusieurs concours sur les énergies nouvelles, cette entreprise reçoit également l’appui de plusieurs donateurs privés et publics tels Google, le département des transports du gouvernement des États-Unis et certaines personnalités du monde politique américain. Développés par des passionnés d’énergies renouvelables, cette nouvelle technologie pourrait avoir des applications multiples telles qu’une signalisation intelligente via des LED intégrées aux panneaux solaires, le rechargement des voitures électriques et bien sur l’approvisionnement du réseau électrique national.

    Conçu pour aider au remplacement des énergies fossiles en Amérique et également dans le monde, ce projet futuriste pourrait bien être la prochaine source d’électricité propre. Les routes, les stationnements, les pistes cyclables et les trottoirs pourraient bientôt être équipés de bornes de chargement pour les automobiles, bicyclettes et motocyclettes entièrement électriques. À l’heure actuelle, 4 foyers américains sur 5 dépendent des énergies fossiles pour leurs approvisionnement en électricité, contre seulement 1 sur 5 au Québec, ces proportions pourraient radicalement changer si le projet venait à voir le jour. En effet, selon les prévisions faites par les ingénieurs de Solar Roadways, en transformant uniquement le réseau de route national des États-Unis, la production qui en résulterait serait suffisante pour assurer trois fois la demande nationale annuelle. Ainsi, cela entraînerait la disparition progressive des 65 centrales nucléaires présentent sur le territoire, mais également l’arrêt graduel des centrales thermiques fonctionnant encore au charbon. Cette solution énergétique pourrait bientôt supplanter les autres énergies renouvelables, car tout en évitant d’autres modifications de l’espace, celle-ci permettrait d’atteindre l’autosuffisance électrique.

    Ces nouvelles routes, en plus d’apporter l’autosuffisance énergétique, permettront une meilleure sécurité à tous les utilisateurs de la chaussée. En effet, chaque récepteur solaire étant équipé de LED, les usagers de la route bénéficieront d’une meilleure visibilité et cela en tout temps. Cette technologie ne se limite pas uniquement à l’éclairage, elle permet également l’affichage de texte et de formes géométriques. Grâce à ces possibilités, la signalisation au sol deviendra intelligente et pourra être adaptée en temps réel, elle permettra ainsi d’éviter de nombreux accidents et embouteillages à travers tout le pays. En plus d’offrir une chaussée plus réactive, les ingénieurs ont également pensés au danger du froid et de l’hiver. C’est pourquoi, ils ont intégrés dans chaque module des éléments qui captent et gardent la chaleur émise par le soleil, ainsi en cas de températures négative la route pourrait réagir d’elle-même et faire fondre neige et verglas très rapidement. Cette option permettrait de réduire les coûts et la pollution engendrés par les actions de déneigement, en plus d’offrir une meilleure sécurité sur les routes durant l’hiver.

    Enfin, même si le coût de production de ces routes peut paraître astronomique, il faut rappeler l’autofinancement de celle-ci une fois mise en place, de plus les études ont prouvées qu’une route « solaire » serait trois fois plus durable que l’asphalte. À méditer…

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