H2015 – Relations publiques
Cette page a été créé à l’intention des étudiantes et des étudiants inscrits à l’hiver 2015 au cours Relations publiques au département de Techniques de tourisme du Cégep de Matane.
Dans le cadre d’un laboratoire en continu, ils devront à tour de rôle choisir un sujet d’actualité et écrire un résumé de 250 à 500 mots sur cette page puis, en faire une présentation devant leurs collègues.
Bon partage!
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1.
Emmy Foster | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 15:31
Yo !
2.
michelhebert | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 21:31
Oy!
3.
Johane Cayen | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 16:32
allo
4.
michelhebert | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 21:31
Olla 🙂
5.
Audrey Beaulieu | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 16:33
Bonjour!
6.
michelhebert | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 21:31
Jour bon!
7.
Laurie-Anne Leblanc | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 16:33
salut
8.
michelhebert | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 21:33
Tulas!
9.
caroline404 | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 16:33
Bonjour!
10.
michelhebert | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 21:30
Jour bon 🙂
11.
Nicolas Bourgoin | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 16:33
Bacon
12.
michelhebert | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 21:29
Tofu
13.
Charlène | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 16:34
Vive la Normandie !
14.
michelhebert | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 21:29
Ils ont des chapeaux blancs, vive les Normands…
15.
Marie-Lee Bourgeois | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 16:35
Salut Michel
16.
michelhebert | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 21:29
Bonsoir Marie-Lee 🙂
17.
Vanessa Cormier | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 16:36
Bonjour
18.
michelhebert | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 21:28
Jour bon!
19.
Sophie Bellemare | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 17:23
Allo
20.
michelhebert | 0-04:00 jeudi 22 janvier 2015 à 21:27
Olla!
21.
Nicolas Bourgoin | 0-04:00 lundi 26 janvier 2015 à 18:20
Au Yémen, plus précisément à Saana (la capitale du pays), ont lieu plusieurs affrontements armés depuis déjà plus d’une semaine. Ces affrontements opposent les miliciens chiite d’Ansarullah à l’armée du Yémen et ont déjà fait plus de 35 morts et 96 blessés. La milice chiite, qui est en opposition au nouveau projet pour un Yémen fédéral à 6 régions voté par le gouvernement actuel, a gagné du terrain depuis le nord du pays et concentre maintenant ces forces en plein coeur de la capitale. Appuyés par l’Iran et l’ancien dictateur du pays, les miliciens s’en prennent au président en l’accusant d’encourager la corruption. Ils ont pris le contrôle du palais présidentiel, ont bloqué l’accès à l’université et ont même kidnappé le premier ministre afin de mettre de la pression sur le gouvernement. Les ports, les aéroports ainsi que certaines ambassades (don celle des États-Unis) sont fermés jusqu’à ce que l’ordre soit rétabli. Suite aux nombreux attentats, le président du pays a laissé sa démission jeudi dernier et décrit la situation dans la capitale comme étant »l’impasse totale ». En effet, des miliciens armés contrôlent le centre-ville et prennent en otage de nombreux journalistes et protestants qui s’opposent au groupe, sans parler du fait que le pays n’a plus de gouvernement. La terreur plane sur Saana et les gens du pays sont inquiets quant aux évènements futurs. Al-Qaïda profite de la situation pour mettre à terme leurs opérations sans l’intervention des États-Unis, qui se sont retiré du pays à cause des affrontements.
22.
Vanessa Cormier | 0-04:00 lundi 26 janvier 2015 à 19:51
L’ACTUALITÉL : L’UTAH DONNE DES APPARTEMENTS AUX SANS-ABRI
Pendant que des milliards d’habitants sont bien au chaud dans leur maison, un grand nombre de personnes vivent sans toit, et cela, à l’échelle mondiale. Pour aider les sans-abri, il y a des gouvernements qui investissent pour leur offrir un refuge ou même des traitements pour les toxicomanes. En ce qui concerne l’Utah, son gouvernement réagit de façon différente en cernant directement le problème : offrir un toit à ceux qui n’en ont pas. L’Utah investit en donnant des appartements aux sans-logis. L’État a débuté cette façon de faire, en 2005, selon un reportage de Mic.com. Lors de cette même année, il y avait 2000 sans-abri, puis grâce au programme d’aide, l’itinérance a subi un déclin de 74 %. Aujourd’hui, il y a 300 itinérants en Utah. Des études sur ce programme ont été réalisées par Mic.com, The New Yorker et par la ville de Salt Lake City et tous ont abouti au même résultat : l’achat de logis nécessite un plus petit coût que la totalité de l’argent déboursé pour ceux-ci annuellement.
En ce qui concerne Montréal, c’est en 1998 que remonte le dernier recensement de sans-abri : on comptait 20 000 itinérants ce qui équivaut aux nombres d’habitants établis à Rivière-du-Loup. Alors qu’au Québec, on recensait 30 000 sans-logis, dont 35 % atteints de problèmes psychiatriques majeurs (selon l’institut de la statistique de Québec, en 2010). Selon le président de la Mission Old Brewery à Montréal, la méthode utilisée par l’Utah pourrait inciter certains à profiter du système.
23.
Sophie Bellemare | 0-04:00 lundi 26 janvier 2015 à 22:49
Baisse du prix du pétrole
Au début des années 2000, nous avons assisté à une augmentation du prix de l’essence causée par des spéculations qui disaient que le pétrole de la planète serait complètement consommé dans une vingtaine d’années. Par contre, au cours des derniers mois, le prix du pétrole a baissé de façon assez considérable. La raison de cette baisse simplement le fait que, dans la peur de manquer de pétrole, plusieurs pays ont investi des milliards de dollars dans la découverte de nouvelles sources et dans de nouvelles techniques d’extraction. Des pays comme les États-Unis ont découvert et exploité beaucoup de gisements au cours des dernières années et ont parvenu à en extraire tellement de pétrole brut qu’ils ont saturé leur marché. L’offre a finalement dépassé la demande, ce qui explique la forte baisse du prix de l’essence à la pompe.
De son côté, le Canada a investi beaucoup d’argent dans l’exploitation de ses sables bitumineux. Ces opérations étaient rentables lorsque le baril de pétrole valait 150$ et plus. Néanmoins, le prix du baril est aujourd’hui à moins de 50$ et pourrait continuer de diminuer. Ceci explique d’ailleurs pourquoi le dollar canadien a tant dévalué par rapport au dollar américain.
Mais, qu’en est-il pour le tourisme dans cette histoire? Selon plusieurs, si le prix du litre d’essence à la pompe se maintient jusqu’au printemps, les automobilistes canadiens voyageront davantage avec leur voiture. Par contre, le phénomène le plus important qui pourra possiblement être observé au cours de la prochaine saison estivale est l’augmentation de touristes américains au Québec et au Canada. Le faible prix de l’essence entraîne les Américains à consommer et à voyager davantage. De plus, la faible valeur du dollar canadien fait du Canada une destination relativement intéressante pour eux. Certains pensent donc que l’année 2015 sera une excellente année pour le tourisme au Québec et au Canada.
24.
Audrey Beaulieu | 0-04:00 lundi 26 janvier 2015 à 22:51
Rapprochement historique entre Cuba et les États-Unis
Les deux pays, entre lesquels aucune rencontre diplomatique n’a eu lieu depuis 1961, ont annoncé le 17 décembre dernier une reprise des discussions. Une réunion s’est tenue à La Havane le 21 janvier, une première en plus de 50 ans d’embargo.
Les deux gouvernements ont des revendications différentes, bien que tous deux souhaitent rétablir des ambassades à La Havane et à Washington. Les États-Unis souhaitent renvoyer des réfugiés cubains reconnus coupables de crimes dans leur pays d’origine et demandent à Cuba de lever les restrictions de voyages envers les diplomates américains. L’administration cubaine revendique quant à elle un changement dans les lois d’immigrations, puisque la politique très ouverte des États-Unis vis-à-vis des immigrants cubains encouragerait ceux-ci à entreprendre le dangereux voyage clandestin jusqu’en Floride. À long terme, Raul Castro, l’actuel président cubain, a pour but une normalisation des liens entre les deux territoires. En tant que premier geste d’entente, les Américains ont libéré trois espions cubains emprisonnés dans les années 90, tandis que Cuba a relâché plus de cinquante «prisonniers de guerre» originaires des États-Unis.
Ce grand changement politique aura de nombreux impacts à plusieurs niveaux, notamment pour le tourisme. Dans les dernières années, une augmentation de visiteurs américains en sol cubain a déjà pu être observée, malgré les restrictions mises en vigueur suite à l’embargo. Avec plus de 60% des résidents des États-Unis en accord avec les rapprochements prévus avec leurs voisins du Sud, il est fort à parier que ce nombre augmentera en flèche dans les prochaines années.
25.
Bruno Langlois | 0-04:00 mardi 27 janvier 2015 à 15:14
rejoindre
26.
michelhebert | 0-04:00 mardi 27 janvier 2015 à 18:22
Bienvenue
27.
Laurie-Anne Leblanc | 0-04:00 lundi 2 février 2015 à 12:13
Raif Badawi
Raif Badawi est un blogueur et écrivain d’Arabie Saoudite. En 2008, il est arrêté, interrogé puis relâché, une première fois, pour avoir ouvert le blog «Free Saudi Liberals». Ce site militant pour la liberté religieuse est considéré comme une insulte à l’Islam. Suite à cela, il est forcé de quitter le pays. En 2009, il revient, croyant la plainte abandonnée, les autorités lui interdisent la droit de quitter le pays et bloque l’accès à son compte en banque. En 2011, une nouvelle plainte est formulée contre le blog. C’est en juin 2012 qu’il est arrêté pour désobéissance à son père, Cyber crime et apostasie. Le 29 juillet 2013, il est condamné à 600 coups de fouets et sept ans de prison. Sa famille quitte le pays pour le Liban, ensuite l’Égypte et, en octobre 2013, obtient l’asile politique au Québec. Refusé en appel, le 7 mai 2014, une nouvelle sentence est prononcée : «10 ans de prison, 1000 coups de fouet, une amende d’un million de ryals et l’interdiction de quitter le pays durant 10 ans. Son avocat et la cofondatrice du blog ont aussi été arrêtés et emprisonnés. Les séances hebdomadaires de coups de fouet ont débuté le 9 janvier à Jeddah. Les États-Unis, la Canada, la communauté européenne et d’autres pays, ainsi que l’ONU, on publiquement demandé de faire cesser les flagellations. Le 16 janvier, la deuxième séance à été reporté pour raison médicale et le roi à fait savoir que le dossier serait réexaminer par la cour suprême.
28.
caroline404 | 0-04:00 lundi 2 février 2015 à 22:37
70e anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz
Le 27 janvier 2015 a été marqué par le 70e anniversaire de la libération de camp d’Auschwitz. Situé en Pologne, c’était le plus grand camp de concentration sous le régime nazi durant la Deuxième Guerre mondiale. C’était un camp de travail forcé et surtout un camp d’extermination.
Plus d’un million de personnes sont mortes à l’intérieur de ses murs entre les années 1940 et 1945, dont 90% de juifs. C’est le 27 janvier 1945 que l’Armée rouge de Russie a découvert le camp et a mis fin à cette horreur.
Une cérémonie commémorative s’est déroulée mardi dernier à l’ancien camp d’Auschwitz pour célébrer cette libération, mais aussi pour se souvenir et prendre un moment d’écouter les témoignages de survivants. Il y avait quelque 300 survivants de camps nazis réunis en compagnie du réalisateur Stephen Spielberg qui a réalisé des entrevues de plus de 50 000 rescapés de ces camps. Une quarantaine de pays étaient représentés.
Une atmosphère plutôt tendue s’est fait ressentir à cause de l’absence du président de la Russie à la cérémonie ayant donné pour prétexte de ne pas avoir reçu d’invitation formelle. Le président français, François Hollande, a profité de cette occasion pour dénoncer les actes antisémites qui se sont passés en France et qui se sont multipliés dans la dernière année. Il a tendu la main aux communautés juives leur soulignant qu’ils ont toujours leur place aux pays.
La cérémonie s’est terminée par une marche de 1 km pour se rendre au monument de commémoration des victimes.
29.
Marie-Lee Bourgeois | 0-04:00 lundi 2 février 2015 à 23:00
Suite à une rencontre qui a eu lieu le mercredi 21 janvier 2015, Pierre Bellerose de Tourisme Montréal et Paul Arseneault de l’ESG UQAM ont poursuivi la tradition pour une 3e année consécutiveen présentant les nouvelles tendances touristiques de l’année 2015.
Les tendances de cette année se résument en 15 grands sujets distinctsqui seront présentés ci-dessous.
Tout d’abord, il y a les réseaux sociaux et l’ère de la technologie qui prennent encore plus de place dans nos vies. De nos jours, tout est plus facile d’accès avec Internet. On peut trouver ce que l’on veut en à temps record.
Ensuite, il est question de la force retrouvée du marché américain. Tout est avantageux pour que les Américains viennent au Québec. Le prix de l’essence qui a baissé etle taux de chance qui est en leur faveurcontribueront à leur déplacement vers le Québec.
De plus, les hôtels vont offrir encore plus de confort pour le bien-être des clients.
Aussi, l’adaptation au niveau des changements climatiques est un enjeu. C’est pourquoi les entreprises sont à l’affût de ceux-ci.
Également, la gouvernance renouvelée du tourisme québécois. Avec les coupures, même l’industrie du tourisme est touchée.
Puis, les aéroports seront mieux munis à partir de 2015 au niveau de la technologie pour simplifier l’accueil et pour faciliter la vie des clients. Une balise iBeacon permettra d’offrir de la bonne l’information aux clients et cela aux bons moments.
Finalement, la clientèle chinoise deviendra le plus grand marché de voyageurs d’affaires internationaux.
30.
Bruno Langlois | 0-04:00 mardi 3 février 2015 à 06:10
LE TRAIN LÉGER DE CHARLEVOIX
Les gens de Réseau Charlevoix ont établis un service de train-navette qui relie la municipalité de Québec et la région de Charlevoix au cours de l’hiver 2014. C’est un petit train très rentable qui fait un trajet de 140 km, en offrant un panorama incroyable sur le fleuve Saint-Laurent et une façon de voyager écoresponsable et silencieuse. Ce train-navette va être opérationnel pour l’été 2015 et va remplacer le train touristique qui faisait la même liaison.
C’est un projet que le Réseau Charlevoix veut mettre en valeur, car le besoin qu’il y a au niveau du transport et les liaisons est plus grand que le besoin et la demande touristique du train touristique. Le projet du train léger est mis en valeur du à son faible cout de fonctionnement et sa rentabilité écoresponsable. Le projet est confirmé pour la saison 2015 mais pas pour la 2016, le projet est mis à l’essaye pour une saison afin d’en observer la rentabilité et les retombées sur les régions touristiques touchées.
Le projet a beaucoup de soutient et les attentes sont hautes. Le train fonctionnera cet été et va desservir un immense territoire, une clientèle plus accessible et de plus grande masse. Non seulement le train léger va servir la clientèle touristique que le train touristique ne pourra pas, mais il va aussi servir pour toute la clientèle de la région urbaine de Québec qui souhaitent se déplacer vers Charlevoix à faible cout. Le projet à lui-même peut apporter des milliers de possibilités.
31.
Johane Cayen | 0-04:00 samedi 7 février 2015 à 11:36
APPUI DU PARTI QUÉBÉCOIS POUR LA CANDIDATURE DU PÔLE LOGISTIQUE DE TRANSPORT À CONTRECOEUR
Le 27 janvier 2015 a eu lieu une conférence de presse de quatre députés du PQ de la région de Contrecoeur, afin de donner leur appui pour l’implantation du pôle logistique de transport. Le gouvernement provincial fera connaître sous peu où il désire implanter le futur pôle logistique de transport, mais le gouvernement libéral lui aurait en tête de l’implanter dans la région de Vaudreuil-Soulange. Le PQ aimerais bien que les libéraux respecte l’engagement qu’ils avaient pris sous le règne de Jean Charest, soit d’établir le pôle aux deux endroits, Contrecoeur et Vaudreuil-Soulange.
Le site de Contrecoeur est un choix inévitable et il possède plusieurs avantages. Le port de Montréal est déjà établi à Contrecoeur, il est ouvert 12 mois par année et le site est déjà zoné industriel. Avec l’implantation du pôle, le port pourrait ainsi traiter jusqu’à 3.5 millions de conteneurs par année, ce qui est le double de sa capacité présente. Il deviendrait le troisième plus grand port en Amérique du Nord. Le PQ rappelle aussi que le transport maritime et ferroviaire est beaucoup mieux que par camion, car l’empreinte carbone serait diminuée. Il ne faut oublier que ce n’est pas du pétrole lourd qui sera en transit mais des conteneurs de marchandises.
Une étude dévoile que le pôle logistique à Contrecoeur aurait des retombées économiques de 8 milliards de dollars sur 20 ans et créerait 24 000 emplois, donc 15 000 dans la région.
32.
Charlène | 0-04:00 lundi 9 février 2015 à 20:54
L’histoire de James Robertson
James Robertson est un Américain de Détroit, âgé de 56 ans. Depuis 10 ans maintenant, il parcourt tous les jours une trentaine de kilomètres à pied pour se rendre à son travail. Il marche huit heures et demie par jour : qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige. Il n’est jamais arrivé en retard à son travail !
Pourquoi James Robertson doit marcher tous les jours pour aller travailler ? C’est simple, sa voiture l’a abandonné depuis toutes ces années et il n’a pas les moyens d’en acheter une nouvelle, car son salaire ne le lui permet pas, il gagne environ 10,55$ de l’heure.
Pourquoi il ne prend pas le bus ? Le quartier où vit James Robertson n’est pas correctement desservi, lorsqu’il parcourt ses 33km quotidiens son trajet comprend une petite partie en bus. Son rythme de vie est très soutenu : il se lève à six heures du matin pour commencer le travail à 12h30, il finit à 22h et arrive chez lui à 4h du matin et dort deux heures et repart pour le travail. Il tient le rythme en buvant du Coca-Cola et du Mountain Dew.
Quelques fois, un collègue le ramène chez lui, mais cela reste rare. Touché par cette histoire, un étudiant en informatique a lancé un projet sur une plateforme de financement pour récolter des fonds afin que cet Américain puisse s’acheter une nouvelle voiture : en moins d’une heure 2000$ ont été donné ! Au bout de deux jours, ce sont environ 160 000$ qui ont été récolté !
33.
Emmy Foster | 0-04:00 lundi 9 février 2015 à 23:15
DÉPARTS IMPORTANTS CHEZ HYDRO-QUÉBEC
La société d’État Hydro-Québec s’est vu être frappée par le départ de trois personnes hautement placées au sein de son équipe, soit le président-directeur général, M. Thierry Vandal, son bras droit, Mme Marie-Josée Nadeau ainsi que le dirigeant de l’opération des compteurs intelligents, M. Georges Abiad.
Ces trois démissions ont fait la une la semaine dernière, non seulement parce qu’il s’agit d’une décision inattendue, mais aussi parce que la nouvelle est venue semer la pagaille dans l’esprit des Québécois. Bien que Thierry Vandal ait démenti le fait que leurs départs soient en lien et qu’ils ne concordaient pas avec le projet de développement des compteurs intelligents, le doute plane dans l’esprit de la population. Il ne va pas sans dire que ces départs sans trop d’explications risquent de venir ébranler la confiance que portent les gens à la société d’État.
Grâce à Hydro-Québec, la province jouit d’un important avantage économique et elle a su, avec le temps, démontrer tout son savoir-faire. Toutefois, malgré cette fierté, l’incompréhension de la population face à cette nouvelle tend de venir noircir la réputation de l’entreprise.
Côté tourisme, une réputation noircie risque de faire diminuer l’intérêt de la population face aux aménagements hydroélectriques offerts en visites guidées. Triste nouvelle puisque la fierté et le sentiment d’appartenance d’hier pourraient devenir la honte de demain.
34.
Audrey Beaulieu | 0-04:00 lundi 16 février 2015 à 17:39
TOURISME DANS LA VILLE DE QUÉBEC :
BILAN 2014
En ce début d’année 2015, il est temps de regarder en arrière et de faire le bilan de 2014. Pour le tourisme dans la ville de Québec, les conclusions sont mitigées : les hébergements, boutiques et attraits touristiques ont eu une bonne année, mais le secteur de la restauration a connu une baisse.
En moyenne, Québec reste la ville canadienne ayant eu la plus forte croissance touristique cette dernière année ; l’achalandage aurait augmenté de 0,9% selon l’Office du tourisme de Québec. Concrètement, on note une hausse de 2,7% dans les ventes de chambres d’hôtel, contre -1,1% pour le reste de la province et -3,3% pour Montréal. C’est aussi 5% d’achalandage de plus dans le cas des boutiques, ainsi que 0,7% pour les attraits, du moins lors de la période estivale. Par contre, les restaurateurs n’ont pas eu la même chance : le taux d’achalandage a baissé de 2,6% dans ces établissements.
Le tourisme d’affaire obtient lui aussi des résultats variés. Le nombre de touristes d’affaire individuel à diminuer de 7,6%, mais le marché des congrès et réunions a connu une hausse de 4,8%. Face à ces données, le président-directeur général du Centre des Congrès de Québec, monsieur P.-Michel Bouchard, soutient que l’année a été exceptionnelle dans le domaine du tourisme d’affaire .
Finalement, à quoi s’attendre pour 2015? Québec serait sur la bonne voie, principalement avec le marché américain, dont la devise est maintenant plus élevée que la nôtre. Finalement, la rue du Petit Champlain et son statut de plus belle rue du Canada ainsi que par les abat-jours de l’avenue Cartier, qui ont fait jasé même à l’extérieur du pays, offriront peut-être une belle visibilité à la ville pour l’année à venir.
35.
Vanessa Cormier | 0-04:00 lundi 16 février 2015 à 21:19
Article : La réforme de l’immigration au Québec
La politique de l’immigration du Québec a été insérée, il y a 25 ans. Elle a été rédigée en se fiant surtout au poids du Québec étant dans la fédération. Aujourd’hui, elle doit être revue de « A à Z » pour s’adapter à la réalité à laquelle est confronté la province : une population vieillissante et des milliers d’emplois à combler. Selon l’Institue de la statistique du Québec, il faudrait 60 000 immigrants par année pour pouvoir remplir les postes de travail offert. Toutefois, au Québec, un nombre de 50 000 étrangers est accueilli par années et en 2013, parmi ceux-ci, 11.6 % étaient sur le chômage, bien que 57 % étaient scolarisés. C’est un problème, puisqu’il faut faire travailler ces nouveaux arrivants, mais les diplômes n’ont pas la même équivalence dans cette province et il y a des préjugés faits par les employeurs. De plus, 43 % d’entre eux ne savent pas parler français à leur arrivée. La ministre de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion, Kathleen Weil, a décidé d’annoncer la réforme qui aura quatre phases : une consultation publique, puis l’adoption d’une politique reposant sur le modèle d’intégration choisie par la province suivie par une planification pluriannuelle établit par rapport aux volumes, en plus de la composition de l’immigration et pour finir, la mise en place de la réforme. Weil a tout d’abord désiré effectuer une consultation publique, du 28 janvier au 10 février 2015, où elle a entendu des experts, des associations d’immigrants et des organismes d’accueil. Suite à ceci, elle prévoit faire des modifications majeures, tout en s’inspirant des ajustements de la politique mis sur pied par Ottawa. Celle-ci se base maintenant au nombre d’emploi qui ne sera pas comblé par les Québécois et fait venir ces immigrants en fonction de ce nombre.
36.
Sophie Bellemare | 0-04:00 lundi 16 février 2015 à 22:12
IMMIGRATION CLANDESTINE EN ITALIE
Depuis quelques années, l’immigration clandestine a pris énormément d’ampleur autour de la Méditerranée et est devenue un problème important particulièrement pour l’Italie. D’ailleurs, le 7 février dernier, quatre bateaux transportant au total près de 420 migrants ont quitté la Libye pour tenter de se rendre jusqu’à Lampedusa, une petite île italienne située au sud de la Sicile. Les garde-côtes italiens ont réussi à secourir un des bateaux mais 29 passagers étaient déjà morts de froid. Selon les survivants, un des autres bateaux aurait coulé, un autre aurait chaviré et le quatrième n’a pas non plus été retrouvé. On suppose donc que plus de 300 personnes sont mortes noyées au cours de ce périple. Ils ont été victimes de conditions météorologiques extrêmement difficiles et n’étaient pas adéquatement équipés pour y faire face.
Plusieurs tragédies semblables sont survenues auparavant dont celle d’octobre 2013 lorsque 366 migrants avaient perdu la vie en tentant de traverser à Lampedusa à bord d’un vieux bateau de pêche. Suite à cet événement, la Marine italienne avait lancé une opération militaire et humanitaire appelée Mare Nostrum visant à secourir en mer les immigrés clandestins. Cette opération a été très critiquée pour plusieurs raisons (coûts considérables et doutes sur l’utilité de l’opération) et a finalement été remplacée par l’opération Triton. Par contre, cette dernière est beaucoup moins ambitieuse et vise seulement la patrouille des eaux italiennes sans mandat de recherche et sauvetage en haute mer.
Tous ces immigrants clandestins sont victimes d’un commerce qui devient de plus en plus organisé et lucratif. En fait, ceux-ci viennent de différents pays d’Afrique (surtout de l’Érythrée, la Syrie, du Mali, de la Gambie et du Nigeria) et paient d’importantes sommes d’argent à des trafiquants qui les accompagnent jusqu’à la côte libyenne. Une fois sur place, ils se font tenir prisonniers jusqu’au moment où ils sont forcés à embarquer sur des bateaux surchargés qui ne sont même pas en état de naviguer. Ils espèrent ainsi pouvoir fuir la misère de leur pays pour rejoindre le continent Européen et débuter une nouvelle vie. Par contre, la plupart sont victimes d’agressions et de vols de la part des trafiquants avant de quitter la Libye. De plus, lorsque les trafiquant décident qu’un groupe peut prendre la mer, l’opération se déroule peu importe les conditions météorologiques ce qui fait en sorte que des milliers d’immigrants clandestins périssent chaque année dans les eaux de la Méditerranée.
37.
Susan Boyle | 0-04:00 lundi 23 février 2015 à 14:42
LA TAXE D’HÉBERGEMENT AU QUÉBEC
La taxe d’hébergement touche toutes les formes d’hébergement légales au Québec. Le principe derrière la taxe d’hébergement est que Revenu Québec reçoit toutes les recettes de la taxe d’hébergement, transfert ensuite les recettes à Tourisme Québec qui vient redistribuer aux associations touristiques régionales selon le pourcentage de chambres vendues et leur apport pour l’industrie touristiques au Québec.
Présentement la taxe d’hébergement est encore volontaire et peut varier selon la région touristique, le plus commun est 3% du prix de la nuitée, mais on trouve aussi un 3.5% de la nuitée ou encore un 2$ par nuitée. La tsh génère environ 48 millions de dollars par année, c’est un profit qui est possible par la capacité de 14.5 millions de nuitées vendues au Québec. Dernièrement, le gouvernement du Québec pense à établir un système uniforme pour la taxe d’hébergement, c’est-à-dire qu’il voudrait mettre une taxe d’hébergement obligatoire de 4% du prix de la nuitée pour toutes les formes d’hébergement au Québec.
Le but de cette action est de centraliser et uniformiser d’avantage l’industrie de l’hébergement au Québec. Les retombées estimées sont d’environ 75 millions de dollars, ce qui fait 25 millions de plus par année qui pourra être redistribué dans l’industrie du tourisme. L’impact va être différent selon la région touristique, la région de Montréal (tsh 3.5%) sera moins affecté que la Montérégie (tsh 2$ par nuit).
C’est une bonne opportunité pour Tourisme Québec, d’uniformiser le système de taxe d’hébergement et d’aller chercher un peu plus de fonds pour s’autofinancer. Cela pourrait apporter des opportunités de développement pour les régions qui ont une moins grande capacité d’attraction, ou encore d’exploiter les potentiels touristiques.
Mais d’un second point de vue, en augmentant la taxe d’hébergement sur les établissements d’hébergement légaux, l’hébergement illégal devient une solution de plus en plus envisageable. L’hébergement illégal est-il un problème plus important que l’uniformisation de la tsh au Québec?
Bruno Langlois
38.
Marie-Lee Bourgeois | 0-04:00 mercredi 25 février 2015 à 21:56
La France et ses difficultés touristiques
Depuis 1 an, l’Hexagone, qu’on appelle aussi la France, reste au même stade pour ce qui est des chiffres des touristes internationaux qui sont venus visiter ce pays. De plus, l’Organisation mondiale du tourisme est claire lorsqu’elle relate le fait qu’il y a eu 84,7 millions de touristes internationaux en 2013 et en 2014. Cela faisait plus de 6 ans que la croissance du tourisme n’avait pas stagné. Même qu’Alliance 46,2 se pose la question à savoir si la France a perdu l’intérêt des visiteurs.Par contre, ces chiffres ne sont pas définitifsdonc il n’est pas possible de tirer de conclusion à cela. Puisque le ministère du Tourisme dit que la France n’a pas donné les chiffres exacts pour 2014. La raison de tout cela?C’est à cause qu’il n’aurait pas assez de compétition avec les autres pays en ce qui concerne les taxes, le coût à l’hôtel, etc. Il y a aussi le fait que les 15 millions de visiteurs restent seulement pour 48 heures à Paris. Cela faisait plus de 10 ans qu’Alliance 46,2 n’avait pas vu cela.Pour faire suite à ces chiffres, la France réagit. Les commerçants vont commencer à ouvrir le soir et même que ceux-ci vont aller jusqu’à ouvrir le dimanche pour s’assurer d’avoir le plus de visiteurs internationaux dans leurs commerces. Il aura plus de promotions pour attirer les touristes à venir visiter la France et d’autres moyens seront trouvés pour rétablir la croissance de visites internationales dans ce pays. La France attendrait unmilliard de touristes supplémentaires avant l’année 2030. Alors, monsieur Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, relate ses paroles dites à la fin juin : « la France se fixait comme «prochain objectif» d’accueillir 100 millions de touristes étrangers par an. »
39.
Laurie-Anne Leblanc | 0-04:00 mercredi 25 février 2015 à 22:22
Le festival de Woodstock en Beauce est un festival de musique qui se déroule sur les terres de la petite ville de Saint-Éphrem-de-Beauce. Ce festival fut créé en 1995 par Jacques Hamel. Il est inspiré du fameux «Festival de Woodstock» aux États-Unis. Le slogan du festival représente bien l’ambiance que les organisateurs voulaient lui donner : «Fun en paix». Ce festival est aussi connu pour son camping qui permet aux festivaliers de dormir sur place. C’est en 2014 que la fin du festival est annoncée. Toutefois, il est à noter, que Woodstock en Beauce, avait connu des problèmes de financement dans les années antérieurs. En effet, en 2013, l’évènement avait eu de la difficulté à boucler son budget et s’était mis sous la protection de la loi sur la faillite et l’insolvabilité. Les organisateurs souhaitaient se rendre au chiffre magique de «20» et c’est ce qu’ils ont fait en 2014, avant d’annoncer la fin du festival. Les organisateurs souhaitaient aussi se consacrer à leurs carrières respectives. C’est le 19 février 2015 que l’annonce du retour de Woodstock à l’été 2016 fut publiée. Une nouvelle équipe composée d’anciens employés on reprit le flambeau. Ils affirment : «Grâce au support que vous avez démontré envers le festival, entre autres avec la pétition, les propriétaires ont finalement décidé de nous passer le flambeau.» Il est a noté que la pétition fut mise en place par des festivaliers. Les nouveaux organisateurs affirment vouloir perpétuer la tradition du festival, mais aussi de le ramener à l’essentiel : «Avoir du fun en paix». Ils ont aussi obtenus l’appui d’André Gagné et de Daniel Routhier, deux des propriétaires de l’évènement. Le projet de relance vise à diminuer l’envergure des spectacles et à mettre l’emphase sur le camping comme dans les débuts de Woodstock en Beauce.
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caroline404 | 0-04:00 samedi 28 février 2015 à 14:47
César du meilleur film étranger
Le 20 février dernier s’est déroulée la 40e cérémonie des Césars, organisée par l’académie des arts et technologies du cinéma. Elle a eu lieu à Paris, au théâtre du Châtelet. Cette cérémonie annuelle récompense l’excellence des productions cinématographiques françaises. On dit souvent que les Césars sont l’équivalent français des Oscars aux États-Unis. Parmi les 22 catégories de prix offerts durant cette cérémonie, on retrouve le prix du meilleur film étranger. Cette catégorie permet aux artistes étrangers de se démarquer.
Cette année, on retrouvait parmi les 7 finalistes de la catégorie film étranger, le film Ida, l’Hôtel Grand Budapest, Sommeil d’Hiver, Douze ans d’esclavage, Jeunesse, Deux jours, une nuit et Mommy. Le César de cette catégorie a été remis au film Mommy réalisé par nul autre que le réalisateur québécois, Xavier Dolan. Qualifié de jeune prodige du cinéma québécois, Xavier Dolan, âgé de 25 ans, en est déjà à son 5e film réalisé. Il a d’ailleurs reçu pour le même film, le prix du Jury au dernier Festival de Cannes.
Malgré les distinctions qu’a reçues le film Mommy, les Oscars ont quant à eux, choisi d’ignorer le jeune réalisateur. Cette décision a soulevé plusieurs questions. Xavier Dolan en entrevue, s’est dit déçu de constater que son œuvre n’ait pas été retenu dans la course. Il s’interroge sur les raisons qui motivent le choix des juges.
Maintenant, Xavier Dolan se concentre sur ses prochains défis. Il tournera son premier film en anglais, The Death and Life of John F. Donovan. On peut également le retrouver comme acteur dans le film Éléphant Song de Charles Binamé. Aux côtés de Bruce Greenwood, il y joue le rôle de Michael, un jeune homme psychiatrisé qui est interrogé sur la disparition de son médecin.
Jeune cinéaste passionné, Xavier Dolan, est voué à une brillante carrière.
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Nicolas Bourgoin | 0-04:00 lundi 2 mars 2015 à 09:30
Depuis déjà une quinzaine d’années, l’Association des Restaurateurs du Québec (ARQ) se bat pour une modernisation de la loi sur les permis d’alcool. Hors, cette semaine, les restaurateurs Normandin et St-Hubert, qui sont des membres très influents de l’association, ont proposés l’intégration d’un permis d’alcool mixte pour les restaurateurs québécois. Ce nouveau permis permettrait aux clients d’apporter leurs propres consommations au restaurant ainsi que la possibilité de commander de l’alcool sur place.
Les autres membres de l’ARQ, quant à eux, sont en opposition au projet et sont très inquiets des conséquences que pourrait avoir l’arrivée d’un tel permis dans l’industrie. Ceux qui en sont le plus concernés sont les restaurateurs qui on une grande cave à vin. En effet, ceux-ci verraient la valeur de leur marchandise diminuée grandement du aux bouleversements que ce nouveau permis entrainerait dans les habitudes de consommations des clients. Ces restaurateurs ont investis une fortune pour avoir les installations requises, le permis ainsi qu’une carte des vins complète et verraient leurs efforts réduits à néant avec l’arrivée d’un tel permis.
Même si Normandin et St-Hubert sont des exemples dans l’industrie, le président assure les membres en leurs disant que ce projet de loi ne fait pas parti des priorités pour l’instant et qu’un tel projet a de très faibles chances d’être adopté en raison des nombreux restaurateurs en désaccord. Les priorités seraient d’abolir le timbre de droit sur les bouteilles vendues ainsi que l’obligation d’avoir un permis pour chaque pièces d’un établissement. L’adoption d’un tel permis pourrait également avoir d’importants impacts sur l’industrie du tourisme. En effet, une grande partie de nos clients internationaux proviennent de la France et sont prêt à payer le prix pour goûter nos vins du Québec. C’est pourquoi il est important de protéger les industries avec une grande cave à vins.
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Emmy | 0-04:00 mardi 3 mars 2015 à 00:55
Durant la nuit du 27 février dernier, un opposant politique au régime de Vladimir Poutine, Boris Nemtsov a été tué de 4 coups de fusil dans le dos, alors qu’il marchait avec une jeune femme à Moscou. Boris Nemtsov était présent dans le milieu politique russe depuis près de 30 ans. En 1990, alors que le premier ministre en place était Boris Eltsine, Nemtsov se voyait être son bras droit et devenir le vice-premier ministre. Plusieurs personnes ont vu en cet homme politique un vent de fraîcheur afin de faire de la Russie un pays plus démocratique. Cependant, pour le remplacer, le premier ministre de l’époque se vit choisir un autre homme, soit le premier ministre actuel, Vladimir Poutine. C’est à partir de ce moment que Boris Nemtsov se vit devenir un opposant politique. Étant un démocrate dans l’âme, ce dernier n’était pas du tout en faveur du régime soviétique de Poutine et croyait au pluralisme ainsi qu’en l’universalité des valeurs de liberté. Dernièrement, Boris Nemtsov avait lancé une enquête en lien avec la présence de soldats russes en Ukraine, qui pourraient avoir été envoyés pour aider les rebelles et leur fournir des armes. Très peu de temps avant sa mort, il avait annoncé une manifestation contre la guerre en Ukraine, due à sa mort, cette manifestation s’est transformée en marche en mémoire de monsieur Nemtsov. Très peu d’informations sont disponibles au sujet de ce meurtre qui semble être un règlement politique. Le moins que l’on puisse dire à propos de cet homme, c’est qu’il a su donner un infime espoir de liberté aux gens qui l’appuyaient.
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Charlène | 0-04:00 mardi 3 mars 2015 à 18:24
Le robot Pepper
Le 27 février, au Japon, a été mis en vente un robot, appelé Pepper, qui s’est vendu à 300 exemplaires en 1 minute !
Créer par la firme française Aldebaran, il a été présenté dans plusieurs salons de l’électronique, comme à Tokyo, fin 2014.
Qu’est-ce que le robot Pepper ? C’est un des premiers robots humanoïdes qui est doté de plusieurs sens et compétences et qui a été conçu afin d’améliorer les services d’aide à la personne.
Ce robot, qui mesure 1m20, est doté de caméras 3D dans ses yeux afin de lire les émotions. Pepper est donc capable de comprendre les émotions humaines et également de les imiter. Il peut tenir une conversation, se déplacer, prendre des photos, danser. Bref, il est multifonction.
Il est équipé d’une tablette tactile, dont son ventre est constitué, qui sert à installer des applications et fonctionnalités afin que Pepper soit plus performant et surtout personnalisé.
Les fonctionnalités présentées sont, entre autre : apprendre à faire des choses « humaines », comme jouer aux cartes, et d’autres fonctions plus « robotiques », comme surveiller un appartement lors d’un départ en vacances et être capable de prévenir en cas de problème, etc.
Les médecins voient en ce robot un remède à la solitude des personnes âgées.
Le robot a été vendu à 213 840 yens, qui correspondent environ à 2235$. Si l’on ajoute les applications et autres fonctionnalités qui sont en option et payantes, il faut compter environ 6020$ pour ces options (payables en 36 mensualités). Une garantie est également optionnelle, revenant à 3985$, payable en 36 fois. Le coût total des dépenses pour ce robot est d’environ 12 240$.
Nestlé a annoncé l’achat de ces robots en grand nombre afin de favoriser le service à la clientèle dans ses boutiques. Ainsi, Pepper sera capable de proposer une sorte de café en fonction des goûts et préférences que le client lui aura présenté.
44.
marievanessa01 | 0-04:00 samedi 25 avril 2015 à 19:13
Tendances 2015 : Le tourisme d’affaires et de congrès
Chaque année, l’industrie du tourisme évolue, tout comme ses secteurs d’activités et les personnes y travaillant. Cette évolution entraîne donc de nouvelles tendances. Le tourisme d’affaires et de congrès n’y fait pas exception. En 2014 ce secteur d’activité était en rétablissement à travers le monde, dans plusieurs régions, à cause des difficultés économiques des années précédentes. L’année 2015 devrait être plus saine pour le tourisme d’affaires et de congrès, puisque l’économie mondiale va de mieux en mieux, ce qui devrait entraîner une augmentation de 3 à 4 % des voyages d’affaires au Canada et aux États-Unis. Puis, suivra une hausse des tarifs des hébergements et vols de l’Amérique du Nord.
Parmi les professionnels œuvrant dans l’industrie du secteur d’affaires et de congrès, il y a de plus en plus de membres faisant partie de la génération Y. Cette génération commence à prendre plus de place et devrait représenter plus que la moitié des voyageurs d’affaires en 2020. Elle a des attentes plus hautes que les générations précédentes et est beaucoup axée sur les réservations et les recherches en ligne réalisées à partir d’appareils mobiles. Les professionnelles de cette génération apprécient les hébergements alternatifs, lors de leurs déplacements à but professionnel et ils dépensent davantage quand l’entreprise paye la réservation. Les grands hôtels recevant cette clientèle doivent donc s’adapter en réalisant, par exemple, une application mobile comme celle des établissements Radisson Red qui va permettre le clavardage avec un concierge et même la commande de nourriture. Les applications mobiles lors d’un congrès seront également de plus en plus utilisées, dans le but de diffuser des mises à jour et de sonder les participants. De plus, les organisateurs de conférences vont être plus axés sur la personnalisation, c’est-à-dire qu’il y aura un plus grand côté interactif avec des jeux d’études de cas. Le but de ces jeux étant de permettre aux participants de faire de nouvelles rencontres et de réfléchir sur des problématiques qui pourraient se produire. Cela peut même donner de nouvelles idées de projets aux professionnels y participant. Les organisateurs pourraient tout réinventer que ce soit le design de l’endroit, la durée, le thème, le rythme et le format de la conférence, dans le but de satisfaire sa clientèle. Les touristes d’affaires et de congrès sont plus portés sur les médias sociaux et vont probablement prendre des photos ou vidéos d’une conférence pour ensuite les partager sur Twitter ou Facebook.
45.
michelhebert | 0-04:00 samedi 25 avril 2015 à 20:14
Merci beaucoup pour ton texte Vanessa. Au plaisir de t’entendre mardi après-midi 🙂
46.
nicolas bourgoin | 0-04:00 mardi 28 avril 2015 à 10:34
Ce samedi 25 avril, un énorme séisme a frappé le Népal de plein fouet, principalement dans la région de Katmandou, la capitale. La secousse s’élève à 7,9 sur l’échelle de Richter. Le dernier tremblement de terre d’une telle force à frapper le Népal remonte à il y a plus de 80 ans. Au total, il y aurait eu environ 4000 morts et quelque 6500 blessés. La ville et la population n’étaient pas du tout prêtes à un tel évènement, ce qui explique l’ampleur des dégâts. En effet, la catastrophe naturelle, en plus d’avoir fait de nombreuses pertes en vies humaines et de nombreux blessés, a complètement ravagé les infrastructures et les bâtiments les plus importants de la capitale.
Parmi les pertes les plus importantes, ont compte la tour de Dharahara, la place Durbar, la statue de Garuda, etc. Certains sont encore récupérables, mais la grande majorité est en ruine totale. La place Durbar, dont il ne reste que quelques vestiges, était classée dans la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO comme étant un véritable joyeux culturel. La place, qui était un ancien palais pour les rois des lignées Malla et Shah, fut construite dans la seconde moitié du 11ième siècle et témoignait des débuts de la cité de Katmandou. Aujourd’hui, les nombreux temples, palais et lieux de cultes du quartier ont complètement été anéantis.
En lien avec l’industrie du tourisme, il est évident que les activités économiques en lien avec ce secteur vont se voir fortement affectées de façon négative. Comme plusieurs infrastructures de services ont été détruites (hôtels, magasins, transporteurs, etc.), il en va de soi que la capitale aura de la difficulté à servir et accueillir adéquatement les visiteurs durant les prochaines semaines, voir les prochains mois. De plus, comme le sport national de bien des touristes est de visiter l’ensemble des sites du patrimoine mondial de l’UNESCO, la démolition de la place Durbar aura sans aucun doute des répercussions sur le nombre de visites annuelles.
47.
Audrey Beaulieu | 0-04:00 mardi 28 avril 2015 à 12:49
Quand le cinéma fait voyager
Depuis de nombreuses années, la culture populaire suscite bien des passions. Le cinéma et la télévision attirent parfois des centaines, voire des milliers de fanatiques dans certains cas. Ceux-ci sont d’ailleurs de bons clients pour l’industrie touristique : un bon nombre d’entre eux rêvent de visiter les lieux de tournage de leur film fétiche ou encore de visiter les lieux marquants de la carrière de leur idole.
Une nouvelle mode se démarque d’ailleurs au niveau de cette forme de tourisme. En effet, les destinations ayant accueilli le tournage de la populaire série «Game of Thrones» (le Trône de Fer en français) ont attiré un nombre plus élevé de touristes que dans les dernières années. La série, dont les intrigues se déroulent à une autre époque, décrit une lutte de pouvoir pour le trône du royaume, dans un univers fantastique de dragons. Selon le site de voyage GoEuro.fr, les réservations pour les lieux suivants ont augmenté de 8 à 26%, selon la destination : Dubrovnik, en Croatie ; Belfast, en Irlande du Nord et l’île de Malte.
Cette nouvelle tendance pourrait être un plus pour ces destinations et les entreprises qui s’y trouvent. Pourquoi ne pas créer un circuit touristique inspiré de la série? Au St Georges Market, à Belfast, un kiosque présente des… œufs de dragons! Inspirés par les créatures de Game of Thrones, ceux-ci sont des représentations très semblables à celles vues dans les épisodes de la série et bouge en grognant lorsque des passants curieux y touchent! Ce produit original, mais pourtant très simple, n’est qu’on exemple des multiples possibilités qu’offre cette nouvelle mode.
Bien entendu, ce n’est pas la première fois qu’un film ou une série télé crée un tel engouement : on peut penser à la trilogie du Seigneur des Anneaux, qui attire bon nombre de voyageurs en Nouvelle-Zélande chaque année. La destination en a même fait un produit d’appel. L’Irlande du Nord et les autres destinations concernées devraient-elles suivre cet exemple.
48.
Laurie-Anne Leblanc | 0-04:00 lundi 4 mai 2015 à 20:11
La location d’appartements, chambres, etc. sur des sites tel que « Airbnb » est de plus en plus populaire auprès des voyageurs. Cette option permet d’avoir un endroit pour dormir à moindre coût et d’avoir beaucoup d’intimité. Cela est très accessible sur internet, car les offres abondent. Toutefois, ces sites ne paient pas de taxe sur l’hébergement et autres frais associés à la tenue d’établissements d’hébergement. Cela cause beaucoup de discorde dans le domaine du tourisme au Québec. En effet, le gouvernement du Québec et de l’Ontario se pencheront dans les prochaines semaines sur les services d’hébergement touristiques illégaux. Plusieurs représentants du domaine touristique affirment que ces sites sont une concurrence déloyale et qu’ils ne sont pas sur le même pied d’égalité que les établissements enregistrés. Il est estimé que 1500 logements à louer se retrouvent sur des applications web dans la région de la Capitale-National et cela représentent 15%. Ce même 15%, c’est le nombre de chambres d’hôtels disponibles dans la région. Le gouvernement du Québec souhaite taxer les responsables de ces unités au même titre que les établissements d’hébergement enregistré. Au Québec, gens qui louent des unités sans permis peuvent être gratifiés d’amende.
Le Nouveau-Brunswick est beaucoup moins avancé dans sa réflexion que les autres provinces du Canada. En effet, le président de l’Association de l’industrie touristique du Nouveau-Brunswick ne connaît pas « AirBnb ». Toutefois, la location de logements privés à des fins touristiques sur internet, n’a rien de nouveau dans cette province. En effet, cette forme de location est présente depuis un bon moment sur des sites comme « Kijiji ». Des représentants de l’industrie touristique du Nouveau-Brunswick affirment que le gouvernement devrait se pencher sur ce dossier pour savoir si ces sites sont beaucoup utilisés et quels sont les impacts sur les visiteurs et l’industrie.
Le ministre du tourisme et du patrimoine de la Culture, Bill Fraser, dit ne pas très bien connaître « AirBnb », mais est au courant qu’il fait l’objet de réflexions dans certaines provinces. « Nous allons chercher à travailler avec les autres provinces pour voir ce qu’ils font et déterminer si l’on peut collaborer », dit-il.
À mon avis, réglementer les sites comme « Airbnb » est une bonne chose. Toutefois, il ne faut pas oublier que la popularité de ces sites vient des prix qui sont assez bas. Ainsi, je crois que les mettre sur le même pied d’égalité que les établissements d’hébergement et leur imposer les mêmes taxes risque de nuire plutôt d’aider, car les prix risquent d’augmenter.
49.
Brun-o | 0-04:00 lundi 4 mai 2015 à 20:28
Le Petit Manoir du Casino de Charlevoix
Au mois d’avril 2014, le petit manoir du casino de Charlevoix a subit un terrible incendie et a dut fermer ses portes. L’incendie a débuté dans la toiture de l’hôtel du Groupe Beaubien et c’est rapidement rependu dans le reste de l’établissement. Cet incendie n’a pas fait de blessés, puisque l’équipe a bien réagi en situation d’urgence, tous les clients de l’hôtel ont évacué les lieux à temps. Cependant la fermeture de l’hôtel a signifié une perte importante pour l’industrie de l’hébergement dans la région touristique de Charlevoix, et ce à quelques pas de la saison touristique.
Nous voici donc, presque un an plus tard, avec des nouvelles intéressantes pour la ville de la Malbaie. Le Groupe Beaubien a confirmé la réouverture officielle du petit manoir pour la saison touristique 2015. C’est une magnifique nouvelle et surtout inattendue si peu de temps après l’incendie d’avril 2014. L’établissement a subi une métamorphose complète, le nombre de chambres a diminué à 67 au lieu de 76 comme avant l’incendie. Les chambres ont été entièrement refaites et maintenant les 3 étages de l’hôtel possèdent maintenant des balcons qui permettent d’admirer une vue imprenable sur le fleuve Saint-Laurent. Il y aura maintenant deux salles de 150 places pour des réunions et évènements, à la fine pointe de la technologie ainsi qu’un ascenseur. Le restaurant de l’hôtel comportera 250 places assises, un tout nouveau décor et une cuisine complétement refaite. Il sera ouvert à partir de la mi-juin.
Avec les améliorations faites à l’hôtel, elle va passer maintenant avoir une 4eme étoile à sa classification. Les premières réservations sont déjà faites pour le 15 juillet, et elles arrivent en grand nombre déjà. Le Groupe Beaubien profite en même temps de cette remise sur pied pour faire une expansion. En effet dès la fin de la saison touristique de 2015, les travaux seront entrepris pour ajouter 40 chambres ainsi que des spas nordiques, sur le terrain adjacent. La phase deux représente un investissement de 8 M$ pour le Petit Manoir du Casino de Charlevoix et le tout devrait être complété pour juillet 2017.
Brunp
50.
caroline404 | 0-04:00 lundi 4 mai 2015 à 22:08
La Californie à sec
Le sol californien vit présentement la plus grande sécheresse jamais enregistrée à ce jour. Les lacs et réservoirs sont presque vides. La Californie, qui est l’état le plus peuplé des États-Unis, aura de la difficulté à combler ses besoins en eau pour la prochaine année. C’est une conséquence directe du réchauffement climatique et des émissions des gaz à effets de serre.
Le gouverneur de la Californie s’est exprimé le premier avril dernier sur le sujet, il a annoncé à ses citoyens qu’une réduction d’au moins ¼ des consommations d’eau dans tous les secteurs était impérative. Au cours du mois de janvier dernier, période auquel tombait il y a quelques années des centaines de centimètres de neige n’ont pas vue une seule goute de pluie. C’est la première fois que cela se produit depuis la création des relevés météo. Cette sécheresse ne sévie pas seulement sur la Californie, mais aussi sur les états voir soit l’Arizona et le Nevada. Cette situation dure depuis 2011 et enregistre des records de chaleur estivale jamais constatée par le passé.
Dans certaines régions de la Californie, dont Beverly Hill, où plusieurs vedettes américaines habitent, il est difficile de croire que l’une des plus grandes sécheresses sévie actuellement. Vue des airs, on peut remarquer la différence entre les gazons verts, les piscines remplir a rebord et le décor de la nature extérieur qui est brulé par le manque d’eau et le soleil qui plombe le sol.
Cette situation a plusieurs répercussions sur les différents secteurs d’activité. Plusieurs fermiers qui habite dans les régions touchées sont obligés des prendre des mesures pour éviter la faillite ou protéger leurs vaches. Plusieurs décident de mettre aux enchères leurs bétails ou de faire un périple de plusieurs jours afin de trouver plus d’herbes pour leurs bêtes. Les agriculteurs sont aussi gravement touchés, plusieurs voient leurs champs se dessécher et sont obligées d’en détruire certaines parties.
Le gouverneur de la Californie a réussi à débloquer 1 milliard de dollars de fonds d’urgence pour faire face aux conséquences. Présentement les Californiens étudient plusieurs options pour prévenir une éventuelle pénurie. La première option serait d’économiser l’eau, parce que présentement 70% de l’eau utilisée par les ménages sert à l’extérieur, pour arroser le gazon, laver les voitures, remplir les piscines. D’autres solutions comme la décontamination des eaux d’égout, le dessalement de l’eau de mer et la construction de canaux pour acheminer l’or bleu venu d’ailleurs.
51.
Marie-Lee Bourgeois | 0-04:00 mardi 5 mai 2015 à 09:55
Québec veut encadrer l’hébergement illégal
Le gouvernement Couillard veut encadrer l’hébergement illégal. Pourquoi le terme illégal ? Les personnes qui louent leurs maisons doivent obligatoirement avoir une classification, sinon ces hébergements sont considérés comme illégaux. Ces personnes doivent avoir une certification affichant un panneau sur l’établissement de son hébergement. Donc, si j’offre de louer ma maison, mais que je n’ai pas de certification à la vue des touristes, mon hébergement est illégal. De plus, il y a beaucoup de personnes qui affichent des offres sur Internet. Le gouvernement veut aussi s’affilier avec la firme Airbnb pour l’encadrement, car celui-ci dit qu’il y a trop d’hébergements illégaux qui s’affiche sur ce site Internet. Le Québec serait donc la première province canadienne à encadrer ce type de service illégal.
D’ailleurs, le gouvernement veut mettre en place une taxe pour les services d’hébergement illégal et aussi exiger que ceux-ci paient un montant comme ceux qui font partie de la Corporation de l’industrie touristique du Québec, pour la classification de leur établissement. Des sanctions seront trouvées si les services d’hébergements illégaux continuent de persister sans être conformes aux règles.Les hôteliers sont contents, car cela joue en leur faveur, mais il reste tout de même une inquiétude vis-à-vis tout cela. La compétition est toujours présente, mais elle sera plus encadrée. Même aujourd’hui, les illégaux peuvent recevoir des contraventions qui vont de 750 $ à 2250 $ par jour, et jusqu’à 6750 $ pour ceux qui sont plus coriaces.
De plus, la ministre du Tourisme reste sur ses gardes, car elle dit : « Ce qui n’est pas permis, c’est que certaines personnes s’annoncent là-dessus et annoncent un produit qui, lui, ne répond pas à notre réglementation. C’est ça le problème. ». Alors, il peut toujours y avoir des personnes qui décident de s’afficher, mais qu’elles ne sont pas légales, car elles ne possèdent pas de certification.
Plusieurs questions sont mitigées à propos de l’encadrement, car une question qui revient est celle-ci : « La question, c’est de déterminer à quel moment quelqu’un qui loue sa résidence occasionnellement est considéré comme une entreprise, et taxé de la sorte. »par le directeurd’Airbnb, Aaron Zifkin. De plus, le directeur dit que les discussions avancent avec le gouvernement du Québec.
Donc, plusieurs questions restent à déterminer, pour savoir sur quelles règles vont se baser la firme Airbnb et le gouvernement du Québec pour les services d’hébergement illégal.
52.
Sophie Bellemare | 0-04:00 dimanche 17 mai 2015 à 20:08
Crise dans l’industrie du taxi
L’industrie du taxi et du transport en général vit actuellement une crise sans précédent et ce, depuis l’entrée en jeu de l’entreprise américaine Uber. Cette entreprise, basée à San Francisco, en Californie, a été mise en place en 2009 et opère des applications mobiles qui mettent en contact des utilisateurs avec des conducteurs offrant des services de transport. Au départ, l’entreprise offrait le service Uber Taxi qui était assuré par des chauffeurs possédant un permis de taxi en règle. Par contre, ce n’est que suite à l’apparition du service UberX que la controverse a réellement débuté. Cette nouvelle application a été créée afin de permettre à des particuliers d’offrir des services de covoiturages aux utilisateurs pour des prix bien moins élevés que ceux des taxis.
Au Québec, Uber s’est d’abord installée à Montréal en novembre 2013 et est maintenant présente dans la ville de Québec depuis février 2015. De toute évidence, l’industrie québécoise du taxi s’oppose fermement à l’arrivé de ce service de covoiturage commercial qu’elle qualifie de concurrence déloyale. De leur côté, les dirigeants d’Uber jugent que cette compétition est saine et souhaite seulement que les gens continuent à avoir plus d’options en ce qui concerne le transport en commun. Par contre, le 14 mai dernier, une perquisition a été effectuée par Revenu Québec dans les bureaux d’Uber à Montréal car une enquête est actuellement entamée concernant la possibilité de certaines infractions aux lois provinciales par cette entreprise. Il y a à peine quelques semaines, une quarantaine de véhicules utilisés par des conducteurs d’UberX ont aussi été saisis.
Tout comme ce fut le cas au Québec, Uber a semé la controverse à peu près partout où elle s’est installée jusqu’à maintenant. En effet, les services d’Uber ont été qualifiés d’illégaux et sont maintenant interdits dans plusieurs pays comme la France, l’Espagne, la Thaïlande, la Corée du Sud, la Colombie et les Pays-Bas. Ces services sont aussi interdits dans certaines villes d’Allemagne, d’Inde, du Brésil et de la Belgique. Plusieurs autres villes dans le monde sont présentement en processus décisionnel à ce sujet et certaines ont même porté plainte ou intenté des poursuites directement contre l’entreprise.
Finalement, les opinions divergent encore en ce qui concerne la façon de considérer les services offerts par Uber. Qu’elle soit vue comme étant innovatrice ou illégale, l’entreprise n’a certainement pas fini de faire parler d’elle partout dans le monde. Au Québec, l’enjeu est sensiblement le même que celui de l’hébergement illégal. Mais, comme cela est en train de devenir le cas pour Airbnb (plateforme qui permet à des particuliers de louer une partie ou la totalité de leur propre habitation), Uber ne demande pas moins que de se faire encadrer et réglementer afin de pouvoir continuer à répondre aux besoins de sa clientèle. Quoi qu’il en soit, nous aurons certainement droit à certains débats concernant les pratiques de cette entreprise au courant des prochains mois.
53.
caroline404 | 0-04:00 dimanche 17 mai 2015 à 23:06
MONTRÉAL, UNE DESTINATION TOURISTIQUE VERTE
Le 11 mai dernier à Toronto, Tourisme Montréal a remporté le prix Destinations Award du Responsible Travel et Tourism Forum. Ce prix fait partie des Leadership Awards, présentés par Baxter Travel Media depuis 2008. Il récompense annuellement les organisations touristiques canadiennes ayant démontré un engagement envers des pratiques responsables du point de vue social, économique et environnemental.
Cette reconnaissance vient souligner le travail accompli par Tourisme Montréal dans le cadre du Plan Vert de l’industrie touristique et au sein de l’organisation. L’ensemble des départements de Tourisme Montréal participe à intégrer l’écoresponsabilité au sein des pratiques internes de gestion. Dans le cadre de sa démarche d’écoresponsabilité, initiée en 2008, et formalisée en 2011 avec la création d’un poste dédié au tourisme durable, Tourisme Montréal mobilise l’industrie touristique montréalaise par l’entremise de diverses actions. Grâce au soutien du comité vert de l’industrie touristique, Tourisme Montréal sensibilise, accompagne et fait la promotion des entreprises touristiques montréalaises qui ont à cœur le développement durable.
Le comité vert de Tourisme Montréal veille à l’application du principe des 3RV (réduction, réemploi, recyclage, valorisation) pour une saine gestion environnementale de ses bureaux, par exemple, par la réduction de la consommation de papier, l’élimination des contenants individuels à la cuisine, la redistribution de l’équipement informatique et du matériel promotionnel, etc. De plus, puisque le personnel de Tourisme Montréal est amené à voyager fréquemment à l’étranger, l’organisation subventionne des projets de reforestation pour compenser les émissions de gaz à effet de serre générées par ces déplacements.
D’autre part, en étant l’initiateur du Plan Vert de l’industrie touristique montréalaise, Tourisme Montréal travaille à faire de Montréal une destination touristique de plus en plus écoresponsable.
En 2015, la ville de Montréal se démarque dans ses divers secteurs d’activités. Au niveau de l’agriculture urbaine et l’alimentation, plusieurs entreprises ont pris des initiatives vertes telles que le Fairmont Le Reine Elizabeth, avec son potager sur le toit et la mise en place de ruches. De plus, en juillet 2013, Tourisme Montréal a lancé le répertoire des restaurants écoresponsables. Au niveau des certifications, en 2015, on retrouve 49 établissements hôteliers certifiés par le programme Clé verte et 7 établissements qui sont certifiés Réservert. Le port de Montréal a reçu officiellement, en 2009, la certification Alliance verte. La ville de Montréal se démarque aussi par ses festivals qui entreprennent des résolutions écoresponsables et par son Plan de transport, qui s’est vue remit le Prix leadership climatique qui souligne les meilleures initiatives pour lutter contre les changements climatiques.
Montréal est un bel exemple d’une ville qui s’investit pour limiter ses impacts sur l’environnement et ce serait un bel exemple à suivre pour d’autres destinations touristiques. Je peux encore une fois affirmer que je suis fière d’être Montréalaise!
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Nicolas Bourgoin | 0-04:00 lundi 18 mai 2015 à 10:28
L’Oregon est sur la bonne voie pour la légalisation de la marijuana. Le Colorado, Washington et l’Alaska font déjà partis de la liste des états où le cannabis est légal pour tout usage. Cette légalisation va avoir des impacts directs sur l’industrie du tourisme en Oregon, comme elle en a eu pour les états mentionnés précédemment. En effet, c’est un peu plus de 76 M$ en taxes pour l’état du Colorado, qui n’est seulement qu’à sa troisième année d’exploitation. Bend, qui est une organisation qui vend l’Oregon comme destination touristique, envisage déjà d’ajouter le cannabis comme attrait de la région. En effet, même si la région est populaire pour ses microbrasseries, ses vignobles et ses lieux de villégiatures, Portland (la capitale) pourrait bientôt se voir couronnée la capitale de la marijuana. Kush Tourism, qui est une petite entreprise qui organise des tours guidés sur le thème du cannabis dans les états de Washington et du Colorado, voit un énorme potentiel dans l’état de l’Oregon et est déjà en train de planifier son offre en conséquence. Ces tours se concentrent beaucoup plus sur la production que la consommation. C’est-à-dire que les clients visitent les plus grandes plantations de marijuana au monde en plus d’en apprendre davantage sur la plante et son historique (pourquoi elle est illégale, ses propriétés, etc.). La consommation est donc laissée à la discrétion du client, qui en profite généralement pour tester le produit et ses bienfaits. Le plus grand site de production visité est de 21 000 pieds carrés et plus de 3000 plans de toutes sortes y poussent. Cependant, la grande question reste la suivante : quelles seront les particularités des modifications apportées à la loi 91 en Oregon (loi sur le cannabis) ? Nous savons déjà que la consommation dans les lieux publics sera illégale, mais qu’en est-il des restrictions face au nombre de plans qu’un producteur peut posséder ou encore des différences entre les licences d’un producteur récréatif et d’un producteur médicinal ? La loi devrait être adoptée et mise en vigueur pour le début de l’an 2016, mais il faudra attendre encore jusqu’à la fin de 2016 pour voir apparaitre les premières succursales de ventes au publique. Au fil des ans, Bend pourra alors concevoir une route du cannabis, comme elle le fait déjà avec les vignobles et les microbrasseries du centre de l’Oregon. Kush Tourism souligne que les tours guidés sont très populaires (en moyenne un par jour) et qu’ils attirent des touristes de partout dans le monde, soit la Russie, la Nouvelle-Zélande, la Suisse et l’Islande, pour n’en nommer que quelques-uns. Finalement, cette légalisation sera un pas de plus pour le mouvement de la légalisation et aidera à faire tomber les préjugés.
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Audrey Beaulieu | 0-04:00 lundi 18 mai 2015 à 10:32
Il y a une dizaine de jours, le journal Les Affaires à publier un dossier s’intitulant «Tourisme au Québec : 10 idées pour le dynamiser ». Parmi celles-ci, certaines concernent les compagnies d’aviation ou encore le gouvernement, comme par exemple diminuer le prix des billets d’avions en direction de Montréal ou offrir des remises d’impôts aux québécois qui restent au Québec lors de leurs vacances.
Par contre, certaines des suggestions seraient applicables dans notre région touristique, la Gaspésie. La quatrième piste de suggestion proposée par Les Affaires est de faire du cyclisme un «levier» pour l’industrie touristique. En effet, 20% des personnes fréquentant les pistes cyclables du Québec viennent de l’extérieur. Ce marché est donc à développer, comme l’ont déjà compris certains acteurs de l’industrie. Malheureusement, la Gaspésie ne possède que très peu de pistes cyclables : les vélotouristes doivent voyager sur l’accotement des routes ou même sur la route elle-même, ce qui n’est pas sécuritaire. Développer un tour de la Gaspésie en vélo pourrait être une bonne idée, puisque le tour de la Gaspésie est déjà un «must» pour plusieurs.
Ensuite, le tourisme gourmand prend maintenant une grande place dans le cœur des «foodies», qui souhaitent profiter de leur séjour à l’étranger pour goûter de nouvelles saveurs ou encore pour participer à un événement de type agrotouristique. Selon une recherche réalisée en 2012, plus d’un canadien sur trois planifie son voyage en fonction de cette variable. Il peut donc être intéressant de développer l’agrotourisme en Gaspésie. La route des Bières de l’Est, inaugurée récemment, est un bon exemple de geste pour améliorer cet aspect de notre région.
Le tourisme autochtone est aussi en essor : il attire près d’un million de visiteurs, dont 42% qui viennent de l’extérieur. Proposer des circuits dans la Gaspésie incluant un accès à une entreprise autochtone, comme le Site d’Interprétation Micmac de Gespeg, près de Gaspé, pourrait attirer des touristes supplémentaires chez nous : de nombreux touristes, surtout européens, sont séduit par l’idée de découvrir les premières nations québécoise. Une plus grande visibilité pour ce produit serait une belle façon de diversifier notre clientèle.
Finalement, une bonne image passe par de petites attentions et des clients comblés. Un bon accueil, une petite surprise pour les enfants à la chambre d’hôtel lors d’un voyage, une expérience hors du commun dans un attrait ou un repas délicieux dans un petit restaurant peut faire toute la différence. Voilà donc pourquoi il est important de bien former les employés des entreprises touristiques : eux aussi contribuent au voyage des clients. Une formation en service à la clientèle pointue permettrait aux acteurs de l’industrie de faire vivre un «WOW» aux visiteurs, qui parleront ensuite en bien de leur voyage.
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Emmy | 0-04:00 lundi 18 mai 2015 à 10:38
UNE TAXE D’HÉBERGEMENT POUR LE CAMPING?
La semaine dernière, le gouvernement du Québec annonçait qu’il songeait étendre la taxe sur l’hébergement au monde du camping, dans le cadre de son nouveau modèle d’affaires en tourisme. Leur principale cible avec l’imposition de cette taxe serait les hébergements de type prêt-à-camper (glamping) comme les tentes Huttopia, les yourtes et les chalets. Le but de cette manœuvre? Avoir plus d’argent à consacrer dans les démarches de développement touristique de la province.
La principale raison de cette opposition est due à la redistribution des retombées de cette taxe. En effet, la taxe sur l’hébergement déjà instaurée pour les établissements hôteliers est perçue par les Associations touristiques régionales (ATR) de toutes les régions du Québec dans le but d’être redistribuée dans ces dernières afin de promouvoir leur industrie touristique. Toutefois, avec l’annonce de la venue possible de cette nouvelle taxe, la ministre du Tourisme, Dominique Viens a affirmé que l’argent perçu par la taxe sur l’hébergement depuis 1997 n’appartenait pas aux ATR, et que le gouvernement allait en avoir besoin afin de promouvoir l’industrie touristique du Québec. Avec de tels propos, l’ensemble des Associations touristiques régionales y voit une menace de centralisation de la taxe d’hébergement et ainsi la perte de l’une de leurs principales sources de financement. C’est près de 50 millions de dollars qui sont rapportés par la taxe sur l’hébergement déjà présente, pour l’ensemble des ATR du Québec. Avec la nouvelle taxe, c’est 1 milliard de dollars que le gouvernement irait directement chercher dans les poches des campeurs.
Pour sa part, Camping Québec a spécifié clairement à la ministre que les campings traditionnels ne devraient pas être considérés comme de l’hébergement puisque les gens qui pratiquent le camping doivent apportés leur propre matériel et qu’il s’agit d’un loisir avant tout. Toutefois, sans affirmer être en faveur de cette taxe sur les hébergements de type prêt-à-camper, le directeur général de Camping Québec confirme qu’il serait logique de taxer les campeurs pratiquant le glamping, étant donné la différence marquante entre le camping traditionnel et ce dernier.
La Fédération québécoise de camping et de caravaning (FQCC) vient appuyer Camping Québec afin de demander à la ministre de ne pas appliquer cette taxe à une industrie qui se porte bien et qui pourrait en voir certaines conséquences due à cette nouvelle imposition. Conséquences qui pourraient se traduire, entre autres, par une baisse de l’achalandage. La FQCC affirme que les campeurs sont déjà énormément sollicités par plusieurs augmentations de prix, notamment par la hausse des tarifs de location de terrains et par la hausse du prix de l’essence, et que la venue de cette taxe ne viendra qu’affaiblir l’un des maillons importants de l’industrie touristique québécoise.
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Brun-o | 0-04:00 lundi 18 mai 2015 à 10:48
LES CROISIÈRES : UN RECORD POUR 2015
Lorsque les glaces libèrent enfin le fleuve Saint-Laurent, la vie commence à faire surface dans les centaines de kilomètres du fleuve. La porte d’entrée du Québec est un produit qui est mi de plus en plus en évidence et cela se remarque par le nombre de croisières qui font escale dans le fleuve à la saison touristique. L’été 2015 sera un été record pour l’Est du Québec et ces escales de croisières pour la saison.
En effet, à elles seules, les régions de la Côte-Nord, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine accumulent plus de 80 escales de croisières internationales, pour un total d’environ 70 000 passagers. C’est jusqu’à maintenant du jamais vu pour ces 3 régions. C’est d’ailleurs pourquoi certains ports vont étirer leur saison de mai à octobre, comparativement aux années précédentes qui débutaient en Juin.
Par exemple, les Îles-de-la-Madeleine vont accueillir un nombre record de 20 navires de croisières internationales. Le port de Baie-Comeau recevra un record de 15 escales pour la Côte-Nord.
Le premier navire a déjà fait escale aux Îles-de-la-Madeleine, le Maasdam avec 1100 passagers. Le navire devait passer par Gaspé également, mais l’escale à dû être annulée parce que le quai flottant des navettes était encore coincé dans la glace. Ce n’est pas si grave pour la ville de Gaspé puisque la saison comporte encore 29 autres croisières. Ce qui est un record d’ailleurs comparativement à la dernière saison qui en faisait 22. Entre mai et octobre 2015, plus de 30 000 voyageurs et membres d’équipage feront escale sur la pointe de la Gaspésie et auront la chance de voir Percé et Gaspé.
Le fleuve Saint-Laurent compte neufs ports d’escales principaux pour les croisières internationales, Québec, Montréal, Trois-Rivières, Saguenay, Gaspé, Percé et aux Îles-de-la-Madeleine. Ces ports accueilleront une totalité de 275 000 passagers pour la saison 2015. C’est le double des passagers accueillis en 2008. D’ailleurs de tous les navires sillonnants le Saint-Laurent cette été, 13 seront en constantes activités pour toute la saison. Ce nombre est élevé puisqu’il y a quelques années à peine, il y en avait que quatre. Selon le directeur de l’Association des Croisières du Saint-Laurent, l’objectif serait d’aller chercher plus du double des passagers, c’est-à-dire 600 000 passagers pour une saison touristique d’ici 2020-2025.
Il est facile de faire un lien ici avec les stratégies de marketing, c’est-à-dire que l’objectif de Québec Maritime est de mettre en évidence le produit croisières et l’Association des Croisières du Saint-Laurent vise à doubler le nombre de passagers internationaux accueillis. On voit que les deux organismes travaillent vers le même objectif. Du fait, les autres entreprises de l’industrie touristique travaillent aussi vers l’obtention des mêmes objectifs, par exemple tourisme autochtone développe le produit croisière également dans la même vague.
Source :
http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/transports/201505/11/01-4868890-est-du-quebec-saison-record-pour-les-croisieres-sur-le-fleuve.php
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Marie-Lee Bourgeois | 0-04:00 lundi 18 mai 2015 à 10:54
Les aventuriers du tourisme insolite en France
De plus en plus, cet aspect du tourisme se développe, le tourisme insolite est rendu populaire auprès des touristes qui veulent essayer de nouvelles choses. Ce sont des investisseurs qui veulent sortir de l’ordinaire en proposant de nouveaux produits.
Alors, ceci s’explique par de nouvelles tendances comme, des cabanes sur l’eau par Echologia. Ces cabanes coûtent de 205 $ à 275 $ la nuit. Les investisseurs veulent créer une ferme aquacole pour vivre d’amour et d’eau fraîche.
Marin d’eau douce offre le service de naviguer sur des petits bateaux et qui permettent de voir le bassin de La Villette. Cette société ne possède pas de permis pour conduire les bateaux. Leur but est de faire connaître les canaux qui sont moins visités par les touristes. Leur projet est d’apparaître dans les guides touristiques.
De plus, avec Un lit au prè, il est aussi possible de camper à la ferme dans une tente dite de luxe. Dans ces tentes, les clients peuvent se faire à manger, car elles sont munies de cuisine. Leur projet est de créer 300 fermes en France d’ici 2020 et doubler le nombre de tentes en Europe.
Family Twist offre des séjours clés en main pour les riches touristes étrangers. C’est Magali Dechelette qui offre des activités qu’elle a créée elle-même pour faire découvrir la France. Elle offre des cours de français dans des cafés parisiens, chasses au trésor au Louvre, balades dans Montmartre avec une diseuse de bonnes aventures. Ce service coûte 480 $ pour une visite qui dure environ 2 h. Son projet est de faire connaître son service à Rome, Amsterdam et Barcelone.
Mes randonnées curieuses offre des balades équestres qui permettent aussi de découvrir la gastronomie, les chars à voile et de visiter des marais salants. Leur projet est de faire connaître leurs produits dans le Pays de la Loire et en Bretagne.
Meeting the French est une immersion dans la France dite authentique. C’est avec Laurence Monclard qui est possible de découvrir ce pays. Ces activités comprennent des dîners chez les habitants. Il y a aussi des visites chez les boulangers, les couturiers, les joailliers, etc. Son agence comprend un grand réseau de chambres d’hôtes et d’artisans. Elle veut donc agrandir son offre dans la région et cibler un nouveau type de clientèle comme les Brésiliens et les Chinois.
Grâce à Lucie Knappek et son agence Evanela, il est possible de faire des visites privées dans des ateliers. Quels ateliers ? Il s’agit d’ateliers dejoaillier. Sinon, lorsqu’un client choisit de prendre ce produit, Lucie s’assure de bien comprendre le profil du client pour trouver ce que celui-ci veut. De plus, elle veut faire connaître son offre en Italie et ensuite s’orienter vers l’Asie.
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Laurie-Anne Leblanc | 0-04:00 lundi 18 mai 2015 à 12:34
En 2013, la ville de Sherbrooke accueillait les jeux du Canada. Cela représente près de 7000 athlètes, accompagnateurs et officiels. Cet événement fut favorable pour les commerçants, car cela représentait des retombées économiques importante pour la ville.
Au chapitre des retombées économiques, Sherbrooke 2013 affiche des retombées totales de 165,5 M$ pour l’ensemble du Québec, dépassant largement la moyenne de 100 M$ à 120 M$ enregistrée lors des six dernières éditions des Jeux. Les retombées économiques pour Sherbrooke et la région auront été de 110,7 M$. Les impacts directs, indirects et induits auront permis la création et/ou le maintien de 1 111 employés à temps plein.
Suite à cet événement, en 2014, la ville a connu un ralentissement touristique. Les hôtels ont vue leur taux d’occupation chuter de 4 % et passer à 56 %. Cela représente 7600 chambres de moins vendues. Le ralentissement c’est aussi fait sentir au niveau du tourisme d’affaire et du tourisme sportif. La ville à accueilli deux congrès de moins, soit 37, les événements sportif ont diminué de 26,6 % et les nuitées de 56,9 %. Le Bureau d’informations touristique a aussi connu une baisse de son achalandage de 1,6 %. L’achalandage des américains et des français a augmenté durant cette période soit de 48 % pour l’un et 68% pour l’autre.
Destination Sherbrooke a affiché un déficit de 361 499 $ qui a été compensé par les surplus de l’organisation (remboursement du fond de services de santé, des périodes de vacances suite à la réorganisation à Destination Sherbrooke et l’appropriation de surplus pour la réalisation de nouveaux projets). Le tourisme a attiré 2 244 000 visites-personnes ce qui à engendré 1,3 million de nuitées et 200,1 M$ en retombées. « Ce sont des rapports qui nous viennent de Statistique Canada. Les Cantons-de-l’Est génère environ 750 M$ en retombées. Sherbrooke en représente alors le tiers » , mentionne le directeur général de Destination Sherbrooke, Denis Bernier. Il considère l’année 2014 comme une année de transition et il est plutôt satisfait du rapport annuel. « En 2010, nous n’avions que 125 M$ en retombées économiques, et nous parlions de 2300 emplois dans l’industrie touristique. Il y a là une belle progression. Sherbrooke prend de plus en plus sa place sur l’échiquier du tourisme d’agrément et du tourisme d’affaire » .
De plus, les résultats de 2014 sont meilleurs que ceux de 2012, l’année précédent les Jeux du Canada. Relativement à la diminution de 60 000 visiteurs au Centre de foires, Denis Bernier rétorque que l’espace loué est aussi important qu’en 2013. Il y a aussi eu une importante réorganisation pour Destination Sherbrooke qui a cédée des responsabilités à la ville de Sherbrooke. C’est 12 postes permanents qui ont été abolis et la contribution municipale fut réduite de 22,9 %.